Un cours très spécial à l'université (2)
Datte: 19/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
La prof de science doit donner des cours d’éducation sexuelle. 2
Je m’appelle Agnès et je suis prof de maths, femme de 42 ans, brune avec une poitrine de rêve, 95 D pour un mètre 72, 60 kilos, un corps à faire bander mes petits cons d’élèves. J’aime les robes mi-longues pour les faire fantasmer.
Je rejoins ma collègue Sylvie dans son bureau, en train de corriger des copies. Elle m’a parlé de son cours si spécial d’éducation sexuelle et je viens aux nouvelles.
— Alors ! Ça s’est bien passé ?
— Oui, mais je crois que j’ai fait une connerie.
Je lui demande de préciser et elle me raconte le déroulement du cours.
— Le gode que j’avais acheté ne tenait pas sur le bureau et je me suis servi d’un de mes élèves. Si le rectorat apprend ça !
— Eh alors ! J’espère qu’il ne t’a pas déçue.
— Oh pour ça non ! Tu aurais vu ça... Il a un truc de fou d’une taille inimaginable, ma main n’en faisait pas le tour. J’ai dû le branler pour le faire bander et j’avais l’impression de caresser une branche de châtaignier avec un bogue contenant deux énormes marrons. D’ailleurs, je l’ai convoqué à sa demande et il ne devrait plus tarder. Il a un gros problème s’il veut réussir ses examens cette année, et il veut sûrement que l’on en parle. Agnès, si tu veux, tu peux corriger tes copies dans la petite salle, comme ça, tu verras le loustic.
— D’accord Sylvie ! Je suis sûre que si tu le voulais, tu pourrais lui faire du rentre-dedans, je lui lance.
Tu es charmante avec tes ...
... cheveux blonds, ta jolie bouche, tes seins fermes et ta taille fine qui met en met valeur tes jolies fesses.
Elle se défend de mes sous-entendus, mais elle sait que son décolleté qui laisse deviner le sillon de la naissance de ses seins, sa jupe ample sur son corps qu’elle entretient avec régularité la rendent désirable. Elle est assez fière de ses 48 kilos pour 1 m 67, de sa taille svelte et de sa superbe poitrine (90 B) qui attire les regards des hommes, même si elle ne fait rien pour cela.
— Agnès, si tu veux le voir, va vite dans le petit réduit aux matériels et...
Un coup à la porte interrompt sa phrase, j’ai à peine le temps de disparaître qu’Olivier entre sans attendre sa réponse et ferme la porte. C’est un beau gaillard d’un mètre 80, au corps d’athlète.
— Bonjour Olivier, assieds-toi, je suis à toi dans quelques minutes, le temps que je range les copies, lui demande Sylvie.
— Prenez votre temps Madame, pendant ce temps, je feuillèterai ce vieux magazine que j’ai déniché dans une réserve de l’université.
Sylvie jette un œil sur la revue qu’il tient délibérément levé pour qu’elle voie la couverture et elle reconnait illico le journal d’un temps que je croyais disparu. Une feuille de chou qu’imprimait en douce un club de presse local du temps de nos études, assez vulgaire, soit dit... J’espérais que les traces de ce vieux souvenir avaient complètement disparu, mais il semble que non.
Olivier se lève soudain et vient poser le magazine ouvert en son ...