1. Louise - 1944 (3)


    Datte: 19/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    ... cris de plaisir et ses soupirs d’envie.
    
    - Comme tu es doux... tu es tendre... je t’aime... et je veux t’appartenir !
    
    - Doucement, Louise... doucement, ma Louison... laisse-toi faire, prenons tout notre temps. Je souhaite découvrir, sans me presser, tous les secrets de ton corps, tous ses désirs, pour te les faire partager, pour te les faire aimer.
    
    De sa poitrine, ma bouche et mes mains dérivent vers son ventre. Elle est couverte de caresses, couverte de baisers, et j’aime cette peau que je sens vivre et vibrer au rythme de mes caresses. Elle doit se baigner beaucoup, souvent, car en embrassant, en léchant sa peau il me semble découvrir tout l’iode de la mer.
    
    Après avoir joué avec son nombril, ma langue arrive bientôt à la ceinture de sa jupe. L’endroit est sensible, je la sens tendue, chargée comme une pile électrique, et elle ne contrôle bientôt plus ses mouvements, tellement je sens les ondes de l’envie qui montent à sa tête. Sans qu’elle le contrôle, son bassin se soulève et elle tend vers mes lèvres toute son intimité, encore protégée d’une double épaisseur de tissu.
    
    Tranquillement, j’attends que sa fièvre retombe un peu et je me penche vers son oreille, frôlant au passage ses lèvres ouvertes et humides.
    
    - Louise... je vais te retirer... ta jupe...
    
    Avant que je ne me redresse, elle agrippe mon cou, et de nouveau ses lèvres viennent se coller aux miennes. Et, lorsqu’elles se séparent :
    
    - Oui... vas-y ! J’aime, j’aime comme tu fais, j’aime comment tu ...
    ... prends tout ton temps. C’est bon... c’est un supplice... mais c’est délicieux !
    
    Après avoir ôté deux ou trois agrafes, je fais glisser sa jupe le long de ses cuisses, le long de ses jambes. D’elle-même elle se débarrasse de ses chaussures plates. Louise est ainsi presque nue devant moi.
    
    J’aime ses cuisses galbées, qui paraissent bien fermes, musclées juste ce qu’il faut. Légèrement tournées vers l’extérieur, elles me permettent de bien admirer leur intérieur sur lequel, au niveau du genou, ma bouche vient se poser, remontant peu à peu vers son entrejambe. Et plus je m’en approche, plus je la sens trembler, plus je l’entends gémir.
    
    À la clarté de la lune, je peux m’apercevoir que déjà le plaisir est venu l’habiter car je vois une grande tache humide sur le dessus de sa petite culotte.
    
    D’une main, elle vient jouer avec l’élastique. Elle n’attend plus qu’une seule chose : que son intimité la plus secrète ne soit absolument plus protégée. Sans m’aider de mes mains, ma bouche fait descendre sa petite culotte, avec au passage une douce caresse de mes lèvres sur sa fine toison humide et frisée.
    
    Maintenant elle est nue, toute nue... et elle le sait.
    
    Les yeux fermés, le corps secoué d’intimes frissons, elle n’ose espérer les prochaines caresses.
    
    Me plaçant entre ses cuisses, je les écarte légèrement pour bien contempler son dernier abandon. Mes doigts courent sur l’intérieur de ses cuisses, remontant inexorablement vers son sexe offert. Ma bouche remplace bientôt ...
«1234...»