Louise - 1944 (3)
Datte: 19/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
Nous reprenons le même trajet que ce matin. Au loin, la mer est toujours aussi calme, qui joue avec les reflets de la lune.
Louise est silencieuse, mais je sens que bientôt elle pose sa tête sur mon épaule. J’encercle alors sa taille de mon bras et la serre tout contre moi.
Jusqu’à la plage, nous restons silencieux.
Et puis, Louise se décide...
- Rob... tu vas faire de moi... une femme ; enfin... ta femme ?
- Oui, Louise, oui... c’est ce que je souhaite le plus au monde. Mais seulement si toi aussi tu le désires autant que moi. Tu peux encore dire non, Louise, et dans ce cas je te comprendrai, je ne t’en voudrai pas. Mais songe que si tu me laisses faire, ensuite il sera beaucoup plus difficile de revenir en arrière.
Elle ne répond rien, mais croisant ses mains derrière ma nuque elle vient chercher mes lèvres pour un baiser qui parle pour elle, un baiser dans lequel elle met tout son cœur, un baiser où elle se donne, entière, dans le plus profond des abandons.
J’ôte alors ma chemise. La douceur de ses mains sur mon torse me fait déjà frissonner de plaisir.
- Assieds-toi Louise, assieds-toi sur ma chemise.
Lorsqu’elle est assise, je me mets à genoux devant elle et je commence de défaire les boutons de son chemisier. Elle ne dit rien, mais son regard ne me quitte pas. Ses lèvres entrouvertes laissent déjà passer des soupirs de désir.
Louise est devant moi, en soutien-gorge. Celui-ci est bien gonflé et au travers de l’étoffe je devine ses tétons ...
... qui doivent rougir et durcir tellement ils tendent le tissu.
Je caresse avec douceur ses épaules, bien rondes, que la lueur de la lune fait paraître toutes dorées. De nouveau nos bouches se joignent, et au fur et à mesure de nos baisers je sens que Louise se détend, qu’elle se donne vraiment à fond, que nous sommes dans une entière et partagée communion. Sa langue se fait plus souple, plus inquisitrice, et elle répond de mieux en mieux à mon baiser.
- Louise... je vais embrasser ta poitrine...
- Oui... oui, vas-y... Tu sais, mes seins me font mal, je n’ai jamais connu cela. Ce doit être parce qu’ils pointent beaucoup.
Elle baisse un peu la voix, et en baissant la tête :
- Ce doit-être... parce qu’ils attendent tes caresses...
Dans son dos, je défais la pression de son soutien-gorge. Elle me laisse faire et m’aide même pour s’en défaire totalement.
Oui... ses admirables seins sont devant mes yeux. Bien ronds ; je les devine aussi bien fermes. Ils ne sont pas énormes, simplement deux belles oranges qui oscillent sous les rayons de la lune. Les tétons sont en effet bien rouges, et surtout tout dressés.
Elle ne peut retenir un léger cri quand ma bouche en prend possession.
Longtemps je reste ainsi, la caressant et l’embrassant, jouant avec ses deux seins qui se partagent mes caresses.
La tête rejetée en arrière, elle pointe sa poitrine vers mon regard, vers ma bouche, vers mes mains. De ses lèvres ne cesse de sortir une douce mélopée qui mélange ses ...