1. Étreintes tempétueuses


    Datte: 15/08/2018, Catégories: fh, bizarre, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, confession, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... deux tétines sont au comble de leur grosseur, violettes, boursouflées comme l’aréole qui les entoure, tant elles ont été agressées par ma langue et mes lèvres, mâchées, mâchouillées, mastiquées sans répit. Ses seins sont incroyablement fermes, ils ne bougent pas, au sommet de leur plaisir, de ce plaisir ardent qui fait que Catherine se tient cambrée, prête à se briser. Sa bouche est entrouverte, les lèvres sèches, les yeux clos, les paupières lourdes. Je ne sais pas si elle respire. Elle s’anime enfin. Elle tangue deux ou trois fois, sa main parvient à déboutonner la braguette de mon pantalon qu’elle commence d’écarter et de faire glisser sur mes hanches. Elle émerge de cette première bouffée d’extase. Elle l’a happée intensément car ce moment éblouissant lui manquait. Elle me regarde mais elle est encore dans cet ailleurs qu’elle souhaiterait ne plus jamais quitter.
    
    Ses gestes sont précis, mon membre ne va pas lui échapper. Mon pantalon est sur le plancher, j’ai un peu de mal à libérer mes pieds. Me voilà libre, enfin presque.
    
    — Toujours en string, Jean-Marie !
    — Vous aussi.
    — Pourquoi pas ! C’est un automatisme ou une forme de liberté cachée dans notre univers pas réellement marrant. Peut-être espérons-nous toujours séduire l’autre ou tout simplement nous séduire nous même. Il ne faut pas négliger notre corps, notre sexe, y compris quand nos doigts ne nous suffisent pas. Votre verge, je ne me souviens plus d’elle, pourtant je l’ai gardée longtemps dans ma mémoire. ...
    ... Nous aurions dû prendre quelques photos, bien que je n’aime pas m’exhiber. Est-ce que cela aurait suffi ?
    — Peut-être…
    
    J’aurai aimé une Catherine moins pressée, qu’elle comprime sans impatience mon sexe encore prisonnier de sa coque de tissu. C’est cet instant que je préfère, celui qui me transporte chez Éros. Ses gestes, à cet instant, ne sont pas aussi précis et directs que lorsque ma queue est totalement dénudée, offerte et consentante. Elle frôle, cajole, dorlote mon vit qui, échauffé, émoustillé, électrisé par ces attouchements toujours plus rapides, se déploie, se tend et étouffe. Elle l’a saisi et le branle doucement en le compressant fermement. Je gémis, c’est agréable, bouleversant, je recouvre toutes les sensations charnelles qui s’étaient enfuies de mon corps. Elle devine aux vibrations qui traversent et agitent ma tige qu’elle peut poursuivre sa quête érotique. Elle attrape le tissu léger de mon string, un voile noir transparent qui commençait à s’éloigner de mon ventre, elle l’écarte, elle le soulève en heurtant le corps rigide de mon membre. Sans attendre, sans lui accorder un regard, elle s’empare de mon membre à pleine main. Elle l’enferme, l’emprisonne dans sa pince de chair douce, chaude et parsemée de quelques traces humides. Elle le tient fermement, c’est son outil de plaisir, elle se l’approprie en captant sa vie intérieure. Il est là, prisonnier au creux de sa paume. Elle fait corps avec lui. Il se loge dans cet étui charnel naturel, il s’y insère. ...
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