Sandra, volupté et insouciance (7)
Datte: 18/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: alfaducentaure, Source: Xstory
... c’est tout ?
— Oui !
— Et pour les autres ?
— Tu ne sentiras quasiment rien, juste une petite piqûre. Faudrait choisir les bijoux que te souhaites.
— OK.
— Alors je te montre quelques photos… pour les tétons, il y a des barbell comme ceux-ci, composés d’une barre et deux boules ou des fers à cheval comme ceux-là ou alors des anneaux comme ça.
— Des anneaux c’est bien, décida Charlotte. Pareil aux lèvres et un barbell pour le Hood.
— OK. On t’a parlé des sensations du piercing au capuchon du clitoris ?
— Non.
— Donc on perce le petit bout de peau qui le recouvre et l’une des extrémités du piercing repose directement sur le clito et frotte dessus ce qui permet de le stimuler.
— Mais vous ne touchez pas à mon clitoris ?
— Non, j’utilise un guide pour l’éviter.
— OK.
— On y va ? Dit-elle en me souriant.
— Je ne peux pas faire demi-tour de toute manière.
— Bien sûr que si, rien ni personne ne t’y oblige. Tu es bien volontaire pour faire tout ça ?
— Absolument.
— Alors allons-y. Monte sur le divan et assieds-toi sur le bord.
— C’est un divan ça ?
— Un divan médical, c’est comme ça que ça s’appelle. Le drap jetable est changé après chaque passage et le divan désinfecté. Il faut dénuder la poitrine.
— Ça va saigner ?
— Très peu.
— J’ai peur.
— Ça va bien se passer, ne t’inquiètes pas. J’en fait régulièrement et il n’y a jamais de problème, j’ai l’habitude.
— Je vous fais confiance.
— Faut me tutoyer, ...
... c’est plus simple, dit-elle en souriant.
J’ai descendu ma robe de façon à découvrir mes seins. Elle me tournait le dos pour préparer les ustensiles. Elle mit des gants en latex mauve ainsi qu’un masque chirurgical et s’assit sur un tabouret entre mes jambes. Charlotte était debout à mes côtés.
— Redresse-toi bien. Je vais faire le tracé puis saisir le premier téton avec la pince. Ce n’est pas forcément agréable mais j’y suis obligée.
— OK.
— Aller, on y va.
Je sentis la froideur de cette pince attraper le téton et l’étirer. Cela me fit penser tout de suite à la séance de la veille avec Maureen.
— Ça va ?
— Oui.
— J’ai le téton, je vais percer. Inspire à fond… souffle.
A peine eut elle terminé sa phrase qu’une violente douleur me fit crier.
— Voilà pour le premier, je vais passer le bijou… et voilà. Ça va ?
— J’ai très chaud.
— La douleur est intense mais ne dure pas, tu n’as plus mal là ?
— Non, ça va.
— On fait le deuxième ?
— OK.
— C’est parti.
Elle suivi le même procédé et, avec la même douleur et le même cri, le second téton fut percé.
— Eh bien voilà, le plus dur est fait.
— Fait chaud, très chaud.
— Et pourtant l’air est frais. Tes seins sont magnifiques comme ça, tu es très belle.
— Je peux voir ?
— Après, on ne relâche pas la pression, on passe aux suivants de suite.
— OK.
— Alors pour les autres, on va changer d’équipement puisque ça va se passer sur le fauteuil. C’est comme une auscultation de ...