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Sandra, volupté et insouciance (7)
Datte: 18/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: alfaducentaure, Source: Xstory
... disparu. L’autre voiture arriva sitôt. Nous rentrâmes à l’hôtel. Dans l’ascenseur Alex eut les mains baladeuses. — Montre-moi ces nouveaux bijoux. — Dans la chambre, patiente. — Non ici, aller ! — Bah regarde alors. Je défis le serre taille pour que mes seins et mon sexe soient bien en vue. Mes aréoles m’affligeaient une vive douleur, le moindre effleurement me faisait frissonner. — Ne touches pas à mes tétons s’il te plait, j’ai l’impression qu’on les martyrise en permanence. — Ça te fait mal ? — Oui. Le perçage a été douloureux mais ça s’estompait alors que là, c’est un supplice. — C’est normal ? — Oui, ça ne va pas durer mais pour l’instant je douille. — En tout cas, c’est magnifique ces anneaux. — J’aime beaucoup l’effet que ça donne. Il s’accroupit pour examiner ma chatte. — Il est posé sur ton clito ? — Juste en-dessus, sur le capuchon mais il frotte mon bouton. — Et ça t’excite ? — J’ai l’impression qu’on me caresse tout le temps. — Hum ! Il entra un doigt dans ma fente. — Ouah, c’est l’inondation ! — C’est comme si ça coulait en permanence ! — Il ne te font pas mal ceux-là ? — Non pas du tout. — Est-ce que ça t’a excité de te montrer devant une inconnue ? — D’après toi ? — Je pense oui. — Si on excepte le moment du perçage des tétons, globalement oui. On entra dans la suite. — Vous avez pris du bon temps quoi ! — Tu ...
... t’es ennuyé mon chéri ? — Un peu oui à vrai dire. — As-tu besoin d’une compensation ? — Absolument ! — Ah et merci pour ce cadeau. — Quel cadeau ? — Ce n’est pas toi qui a tout payé ? — Non ! — Ah ! Je m’accroupis, ouvris la braguette et sortis l’objet de mon désir. Je le caressai du bout des doigts puis ma langue lécha le membre qui grossit à vue d’œil et le couvris de salive. Je le pris rapidement en bouche et l’enfonçai aussi loin que possible. Je procédai aux rituels va-et-vient tout en malaxant les couilles. La réaction ne se fit pas attendre : Alex annonça que "ça allait venir" et, à peine eut-il terminer sa phrase qu’il lâcha son jus en de longs jets. — Est-ce que tu veux prendre un bain ? Demanda Alex. — Je n’ai pas le droit au bain pendant huit à dix jours, comme la piscine d’ailleurs. — A cause des piercings ? — Oui. — Tu pourrais en mettre un aussi au nombril, non ? — C’est vrai, peut-être la prochaine fois. — Tu dois y retourner ? — Visite de contrôle d’ici deux semaines. — Je pourrais aller avec toi ? — Bien sûr ! … "Mesdames, messieurs, dans quelques instants notre TGV arrivera en gare de Nantes, terminus de ce voyage. Avant de descendre assurez-vous de ne rien oublier à votre place…" L’annonce dans les hauts parleurs me fit reprendre mes esprits. Le train arrivait en gare, ma vie allait prendre un nouveau chemin. Fin du chapitre 1