L'amant trompé, l'épouse et la maîtresse adultères
Datte: 16/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
ffh,
extracon,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Gaétan, Source: Revebebe
... tour, toute honte bue, je plonge mon sexe dans le sien, doux et accueillant, lubrifié par le sperme de son mari… Son doux regard se pose sur moi, puis elle ferme les yeux, son visage se crispe à nouveau et Germaine, une fois de plus, jouit… Couché sur elle, ma tête entre ses seins, je pleure en silence, en cessant tout mouvement en elle. Germaine me caresse la nuque, me murmure à l’oreille des petits mots gentils, en espagnol, que je ne comprends pas, et se met à agiter son ventre autour de mon sexe jusqu’à ce qu’à mon tour, je jouisse en elle…
Je me sens humilié… J’ai accepté que ma maîtresse chérie, sous mes yeux (sur mon nez !), soit baisée, démontée, défoncée (les mots ne sont pas trop crus !) par son mari et moi, tout ce que je trouve à faire, c’est de m’abaisser à succéder à ce salaud et de m’épancher, comme lui, dans le ventre de son épouse… Je me sens misérable… et je quitte l’hôtel « de nos amours » la tête basse et le sexe en berne, en éprouvant le besoin d’un éloignement, sans toutefois être résolu à mettre fin à mes amours extra-conjugales, car si Germaine et moi avons connu des moments de grands émois, la brutale trivialité de Paco a brutalement ramené la beauté de nos émotions à du sexe « hard » (il m’a tout de même obligé à être aux toutes premières loges quand il a « repris possession » de sa femme…)
Les temps d’après, j’erre dans ma vie, et tente de retrouver quelque complicité avec Lydie. Très « épouse modèle », elle accepte mon retour vers elle, en ...
... elle, en conservant tout de même le je-ne-sais-quoi de détachement qui m’avait éloigné d’elle. Au bout de quelques semaines, je me rends compte que ce détachement a laissé la place à une froideur, voire à quelque chose qui s’apparente à du mépris… Un soir, pendant qu’allongé sur elle, j’agite mon sexe en elle, au lieu de gémir, elle me dit, sur un ton neutre, des mots qu’elle semble répéter par convention… :
— C’est bon… j’aime ta queue…
Des mots qui, dits sans la passion du plaisir, sonnent faux.
Un autre soir, alors qu’agenouillé derrière elle, à quatre pattes, j’éprouve de la peine à jouir, elle me demande :
— Tu veux que je te fasse unfrancés ?
Surpris par cette expression d’argot espagnol, je lui demande de répéter, en feignant de ne pas comprendre. Elle semble embarrassée, et me donne une réponse brouillonne et confuse, mais la graine du soupçon est semée, et ne demande qu’à germer…
Je veux en avoir le cœur net. Je décide de faire dans le classique, lui annonce que je dois me rendre chez un client, et que je rentrerai le lendemain, tard. Bien entendu, je me mets en planque et attends. Rien. Me serais-je fait du cinéma ? Vers vingt heures, je la vois partir dans notre seconde voiture. J’entreprends une filature la plus discrète possible, jusqu’à la voir se garer dans un quartier de petits pavillons. Elle sort de la voiture, marche une centaine de mètres, s’arrête devant une modeste maison, et sonne. À ma grande surprise, je vois Germaine, ma Germaine, qui ...