L'amant trompé, l'épouse et la maîtresse adultères
Datte: 16/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
ffh,
extracon,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: Gaétan, Source: Revebebe
Je reprends : je m’appelle Gaétan et suis marié à Lydie, très belle femme, mais frigide, ou presque, et je suis l’amant de Germaine (qui, en réalité, se prénomme Carmen), moins belle que Lydie, mais qui me fait bander comme un jeunot (justement grâce à ses « défauts »), que je retrouve chaque jeudi, dans un petit hôtel. Son mari, Paco, a découvert son « infortune » (comme l’écrivent les journalistes bien élevés) et, pour constaterde visu son malheur, m’a forcé à pratiquer une dernière séance de sexe avec son épouse, sans que celle-ci le sache, avant de me priver, définitivement, de ma virilité. C’est dire si je n’en mène pas large…
Germaine est donc allongée sur moi, tête-bêche et, malgré la menace qui me guette depuis la salle de bain, je parviens à jouir (pour la dernière fois de ma vie ?) dans la bouche de ma maîtresse en poussant un cri, en révolte contre la barbarie d’un homme qui veut me condamner à devenir un nouvel Abélard.
Mon cri, de plaisir autant que de désespoir, est suivi d’un rugissement en provenance de la salle de bain, dont la porte s’ouvre brutalement, laissant le passage à un Paco écumant de rage, qui se rue dans la chambre…
Il s’arrête brusquement, pantois, découvre notre position, très peu conforme aux canons de l’Église catholique romaine, qui semble l’étonner. Effrayée par le cri, Germaine, qui lui tourne le dos et les fesses, sursaute, contracte sa mâchoire, en manquant de très peu d’exécuter, avec ses dents, la sentence que son mari avait ...
... prononcée contre moi. Paco commence par lancer une bordée d’injures, réitère, en hoquetant, ses menaces, puis, quand son regard se pose sur le généreux fessier que sa femme expose à sa vue, son regard devient trouble, puis très vite lubrique… Il profère encore deux ou trois insultes, semble hésiter, puis se décide : dans un nouveau rugissement, il ouvre sa braguette, et en sort son sexe. Il s’approche de nous, appuie sur le dos de Germaine pour l’inciter à garder la position et, d’un mouvement décidé, il s’enfonce dans sa chatte, en lui faisant pousser un « Oh !» de surprise, voire de plaisir, mais certes pas de douleur.
Je suis toujours couché, les lèvres sur le clitoris de (ma ? sa ?) Germaine et, au-dessus de ma tête, je vois s’agiter le sexe de Paco (effectivement bien plus gros que le mien) dans le sexe de son épouse, bien lubrifié par mes caresses. Germaine se met à pousser de petits gémissements, que je sais, par expérience, annonciateurs de son plaisir, et ses lèvres libèrent mon sexe, encore tout ramolli par l’orgasme, et qui se garde bien de se raidir à nouveau, afin de ne pas provoquer l’ire du candidat hongreur, en pleine action dans le ventre de sa femme. Mes mains se lèvent vers les fesses, les bourrelets de Germaine, mais en sont chassées par celles de Paco, qui s’y agrippent pour rythmer et accompagner sa pénétration. Coincé entre les cuisses ouvertes de Germaine, je sens cogner contre mon nez les couilles de Paco qui, de temps en temps, retire, en ricanant, ...