Kentin 17 et fin Le Stage
Datte: 12/04/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Kentin, Source: Hds
... nous sommes perdus.
- Pour ma part, je ne considère pas ces moments comme du temps perdu. Je n’ai ni oublié le plaisir que j’ai éprouvé ni la douleur que j’ai ressentie. Tout cela fait partie de nous. Et qui sait, si rien ne s’était passé serions-nous toujours ensemble. Et quand je dis ensemble, je dis unis. Depuis que tu t’es donné entièrement à moi, je me sens plus attachée, plus responsable. Mais je ne veux plus tu doutes de toi.
Elle a pris mon sexe dans sa main, la retroussé puis ses doigts ont joué avec mon mon gland. Elle a glissé son ongle dans mon méat urinaire. La sensation n’était pas jouissive mais je bandais ferme. Mon sexe laissait échapper des filets de liquide visqueux et transparents. Sa bouche s’est approchée de ma tige qu’elle s’est mise à lécher. Puis elle s’est attaquée à mes boules qu’elle a malaxées léchées puis gobée. Rarement elle me faisait des gâteries avec sa bouche. J’étais aux anges, je découvrais ou redécouvrais des sensation rares. Elle me branlait en même temps si bien que le plaisir montait et descendait dans ma queue. Je voulais qu’elle me procure un orgasme puissant. Je gémissais, je ne pouvais faire autrement. Dans ma tête, je la traitais de putain de traînée de salope. Ces gestes n’étaient de ceux qu’elle faisait à son mari. Le plaisir qu’elle donnait, elle le donnait à un ses anciens amants, pas à moi. Je savais à ce moment précis que je n’étais que le substitut d’autres hommes qu‘elle pouvait désirer. Et quand je n’ai pu ...
... retenir la montée de ma semence, elle a lâché mon membre et les giclées sont parties loin et haut sans que pour autant le plaisir soit à la mesure.
J’avais honte des pensées qui m’étaient venues a ce moment là. L’image dégradée de mon épouse donnant du plaisir à d’autres hommes avait été moteur de mon excitation. Je n’étais qu’un misérable pervers. Je n’étais pas digne de ses attentions. Quand je revins de la douche, j’ouvris l’armoire et saisis la boite où se trouvais la cage de chasteté.
-Chérie, je veux la porter quand tu seras en voyage. Cela me rassurera.
- C’est bien que tu le propose toi-même. Je n’osais te le demander. C’est mieux comme ça.
Dendant plus de trois semaines mon sexe serait enfermé dans sa prison de fer tandis que mon épouse retrouverait une liberté totale loin de moi, loin de notre maison, loin de nos habitudes. Et moi je resterai là, assurant le quotidien, rivé à mes à mes habitudes de peur de me perdre à nouveau.
Au téléphone, je sentais que Corinne était heureuse et épanouie. Les bruits que j’entendais derrière elle ne laissait pas doute sur l’ambiance festive qu’il y avait le soir. Le matin lors de mon coup fil, elle me disait combien ce stage était une bénédiction pour elle, combien les gens avec qui elle était étaient formidables. La distance avait de nouveau creusé un fossé entre nous, je la sentais plus amicale qu’attentive. J’aurais voulu lui dire combien j’étais malheureux sans elle, que je recherchais l’excitation sur des chats sur ...