Apprentie libertine
Datte: 12/04/2022,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
boitenuit,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
Partouze / Groupe
fouetfesse,
init,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... Denise, deux hommes en plus, c’est possible ? Mercredi prochain ?
— Bien sûr, ma belle.
Tout le monde l’applaudit.
À la coloc, nous débriefons. Alban commence par un compliment :
— Bravo, tu es une sacrée nana. Comment as-tu vécu cette expérience ?
Je leur dis que j’ai joui très vite pour passer dans un état d’orgasme anesthésiant permanent, que j’étais robotisée. Que le temps semblait figé dans une jouissance lancinante.
— La vache ! Faut que je fasse à tout prix, s’enthousiasme Edwige. T’as pas le feu à la chatte ?
— J’étais tellement graissée de partout. Vous savez quoi, au début, c’était super agréable, mais trop c’est trop.
— Dans une orgie, cela ne se passe pas comme cela. T’as voulu l’extrême, tu l’as fait.
— Y faudrait beaucoup de garçons au début, mais n’en garder qu’un ou deux à la fin.
Je prends la main d’Alban en lui demandant comment il a vécu cette soirée.
— Au départ, je craignais pour toi. Il y a eu un effet de groupe qui fait changer de dimension. Tu accompagnais le plaisir des hommes, ça faisait résonance. Nous, nous te voyons pas anesthésié comme tu dis. En groupe, je me suis surpassé, chose que je n’imaginais pas.
Cela expliquerait toutes ces éjaculations. Je l’embrasse et demande à Ed comment ça se passe de l’autre côté de la vitre.
— C’est tout juste si elles ne tricotent pas en matant leurs bonshommes. Ça a vite dégénéré. De la masturbation seule, puis entre nous, et les cunnis, je te dis pas ! Si toi t’avais les ...
... bonhommes, moi j’avais les femmes. Tu sais ce qui t’attend, tu m’accompagnes ?
— Et moi, je vais louper ça ! Il paraît qu’en Bretagne, c’est chaud.
Nous le regardons mauvais :
— Salaud ! Tu vas en Bretagne pour nous tromper !
Ne voulant plus entendre de sexe, je retrouve ma piaule d’étudiant pour un gros dodo seule. Au réveil, je m’étire, me tâte, il ne me manque rien. Aucune douleur suspecte, seulement une impression que ma peau tire sous l’effet du sperme séché. La douche pendant que les croissants cuisent, la forme est là.
Je me traite de folle sans conviction de ce défi, au moins il sera effacé de ma tête. Un autre prendra la place. Vaincre ses préjugés, oublier les quand dira-t-on n’est pas si simple. Oser, il faut oser, qui m’a dit ça déjà ?
La Linéa au club ose ce que Caroline n’ose pas. Hier, j’ai osé et j’étais Caroline. Serions-nous en train de devenir une seule et même personne ?
Je m’aime en ces deux personnages, l’une dope l’autre.
Un regard sur ma chambre, malgré le soleil, je la trouve d’une tristesse incommensurable. Il est temps que j’en parte.
Le vendredi au club, Corine m’attend de pied ferme :
— Alors ?
— J’ai bien fait de faire, ça m’a libéré l’esprit et rassurée.
— À moi aussi. On est contente d’avoir fait. Caro, tu me promets une soirée fille, que nous deux…
— Quand tu veux.
La soirée, presque la routine. Fifka absente, j’offre mes fesses à la fessée du patron. J’y prends goût. Du sucré salé, le patron sait doser. Il m’a ...