Drôle de couple
Datte: 10/04/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
handicap,
bizarre,
Collègues / Travail
amour,
pénétratio,
mélo,
coupfoudr,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... faire mon tour de cheval, la cravache à la main. (Devant mes yeux étonnés) Non, je ne l’ai pas frappée. Je me suis contentée de soulever sa blouse avec ma cravache, puis d’en ouvrir le décolleté. Cette… allumeuse était nue en dessous, totalement nue. Pas même une culotte ou un soutien-gorge. Je ne sais même pas si c’est très hygiénique. Je lui ai signifié que je ne tolérerai plus ni son comportement ni sa tenue vestimentaire. Mais je ne l’ai pas renvoyée, Edgar était habitué. Lui, en revanche, n’est jamais venu s’excuser. Alors… je n’aurais pas trop de scrupules. Il a déjà un cabinet où il travaille à temps partiel, il n’a qu’à l’agrandir et s’associer avec sa maîtresse.
— Bien, Audrey, il est une heure du matin, je vais rentrer.
— Oui, c’est mieux ainsi. Ils seront tous là demain matin, et je ne souhaite pas qu’on puisse me reprocher quoi que ce soit.
— Vous avez raison. Demain même heure pour terminer ?
— Oui, il y a encore un tas de choses à voir… Merci, bonne nuit, mon ami.
Pas facile de quitter une telle femme à une heure du matin, après avoir passé plus de douze heures près d’elle sans avoir rien fait et connaissant son potentiel érotique ! Je rentre contrit et dois me masturber sous la douche. Le lendemain, c’est Annette qui nous sert le déjeuner, toujours succulent dans le respect de produits naturels. Puis Audrey demande à ce qu’il n’y ait plus personne dans le château à partir de quatorze heures, car nous avons à travailler. Et du travail, il y en a ...
... encore. Ce sont d’abord les actes de propriété, les éventuels droits de succession, les intitulés des comptes, des sociétés, les valeurs sur les nombreux comptes courants, etc. Edgar avait tout prévu. Droits de succession payés d’avance sur les comptes du notaire, tous les comptes bancaires étaient des comptes joints, Audrey ne le savait même pas. Oui, un jour il lui avait fait signer un tas de paperasses, elle lui faisait confiance et n’avait même pas lu. Toutes les sociétés étaient à leurs deux noms, les virements au nom de Monsieur ou Madame. Et puis il y avait le coffre, là où initialement étaient rangés tous ces dossiers. Il y restait une enveloppe sans papiers, mais contenant une clé.
— À quelle serrure peut bien correspondre cette clé, se demande Audrey à haute voix, je ne vois vraiment pas.
— C’est simple, regardez l’enveloppe, ma chère.
— Ah ! Banque de France ! Alors ?
— Un coffre certainement. Vous irez mardi à l’agence locale, vous leur demanderez.
— Bien. Il y a encore une chose qui me tracasse. Edgar avait, semble-t-il, diversifié sa fortune sous de nombreuses formes.
— C’est exact. Remarquablement.
— Vous croyez que… Enfin, nous sommes dans un château et il y a plein de tableaux aux murs. Ici, dans l’escalier, dans les appartements… Se pourrait-il que certains aient de la valeur ?
— Allons voir.
Nous faisons le tour de toutes les pièces du château, ce qui me permet de le visiter entièrement. Magnifique. Dans l’une des chambres, je remarquai un Degas, ...