Homo sapiens Pornoensis (4)
Datte: 04/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... deux bras gigantesques. La surprise m’arracha un hurlement de terreur et, avant de réaliser ce qu’il m’arrivait, j’étais au milieu de la clairière, portée par un colosse de trois mètres, qui me levait le plus haut qu’il pouvait, ses bras tendus vers le ciel.
Les autres grands hommes dont le nombre s’était accru pendant tout ce temps se reculèrent d’abord effrayés par cette apparition étrange, mais, comme celui qui me tenait était des leurs, ils s’approchèrent tous. La discussion fut immédiatement très animée et bientôt, ils demandèrent aux Boukipus ce que j’étais. On me présenta comme une femme normale venue d’une tribu très lointaine, mais ma normalité n’était pas convaincante, aussi fut-il décidé qu’il faudrait la démontrer. Ce qui les intéressait en fait était de savoir si je m’accouplai normalement. Les Boukipus se proposèrent immédiatement pour en faire la démonstration et je me retrouvai bientôt en levrette au milieu de la clairière. On fit cercle autour de moi, les grands hommes très rapprochés et je vis les étuis péniens monter et bientôt les sexes se libérer de cette gangue de bois, et des sexes magnifiques ! Ils étaient montés comme des poneys !
Du coup, je devins l’objet de marchandage, les grands hommes noirs demandant à m’emmener avec eux.
Pas fous, les Boukipus firent monter les enchères en montrant toutes les possibilités que j’offrais. Tout le Kamasutra de la forêt y passa. On me fit sucer toutes les bites présentes et on organisa une tournante en me ...
... prenant par toutes les positions et dans tous les trous.
Les grands hommes s’excitaient et commençaient à se palucher. Les glands luisaient et commençaient à suinter.
Mais les négociations restaient serrées, les grands hommes prétextant que je n’étais plus vierge et les autres que je ne l’étais effectivement plus, mais que j’étais endurante sous la bite et que je savais tout faire comme on voyait bien.
On continuait à débattre de moins, dans mon dos si je puis dire, mais je laissai faire, étant bien curieuse d’aller dans cette tribu qui était la découverte du siècle ! Pensez, l’homo sapiens n’est plus seul sur terre ! Nous avons un cousin. Révéler cela au monde serait la gloire pour moi.
Quand on me prit en double avec un mec dans ma bouche, les discussions avancèrent d’un pas. On était au bord de l’accord. Les Boukipus repartiraient avec une de leur fille, moi replaçant l’autre. On en obtiendrait plus de richesse en viandes peaux, plantes médicinales, bijoux... On en fixait les volumes.
Comme souvent dans les échanges diplomatiques, quand on est tout près de s’entendre, un dernier effort est fait pour renchérir au risque de tout perdre.
Les grands hommes voulaient me tester avant de prendre un engagement positif. Pendant ce temps, les premières couilles se vidaient et je commençais à être couverte de sperme, ne pouvant ni ne voulant d’ailleurs tout avaler. Mais cette dégustation plaisait bien à nos grands voyeurs.
J’intervins donc dans le débat avec le ...