Homo sapiens Pornoensis (4)
Datte: 04/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... Leur tête était longue, les oreilles très collées au crâne, la mâchoire carrée, le nez épaté et l’arcade sourcilière excessivement prononcée.
Leur musculature est la même que la nôtre, bien qu’il m’apparut que leurs pectoraux sont plus développés, de même que les muscles des épaules (mais le cou est plus court) et des jambes, des vraies cuisses de rugbymen.
Ils étaient entièrement nus, à l’exception, pour certains de quelques colliers, serre-bras ou ceinture d’une sorte de sac en bandoulière et, pour tous, d’un étui pénien colossal qui laissaient cependant voir de belles baloches, proportionnelles à leur grande taille, qui pendaient nettement.
Je me mis à penser à la dimension de leur pénis si toutes les parties du corps étaient ainsi multipliées à peu près par 1,5, par rapport à un être humain de ma taille ! Les boukipu, comme je l’ai déjà dit, ont des bites plutôt moyennes voire petites (mais toujours parfaitement dures, on ne sait pas ici ce que bander mou signifie.) Rarement plus de 14 centimètres, 17, 18 pour les mieux teubés. Mais même en multipliant les petites mensurations par 1,5, on obtient des queues de 21 centimètres minimum, ce qui est du beau matos. Si je pense à mon pote Tugdual, avec lequel je ne sors pas, mais qui ne refuse jamais de m’enfiler quand je suis un peu seule ou un peu triste, qui a un mandrin de 19, 5, on obtient des braquemarts qui doivent atteindre près de 30 centimètres !
Je pensais aux deux petites femelles boukipus qui étaient là, ...
... fragiles, avec leurs petits seins bien ronds et qui allaient se faire déchirer par ces monstres si ma théorie des proportions était fondée, comme je le croyais, car les femmes du village qui avaient témoigné de leur expérience rapportaient des propos concordants sur la taille gigantesque des vits des GH.
Mais pour le moment, j’étais captivée par les palabres engagés entre les deux communautés. Très rapidement, les femmes avaient été échangées, celles qui avaient fini leur temps retrouvaient qui un frère qui un père et conféraient avec celles qui allaient partir, leur prodiguant sans doute quelques conseils.
On troquait des plantes, des cadeaux, on examinait, on approuvait, tout cela se passait dans le plus grand calme, sans cérémonie. Les femmes servaient de truchement, mais quelques hommes des deux communautés étaient capables de converser avec les autres. Il y avait des interprètes.
La voix des GH était douée des mêmes nuances que la nôtre, des sons les plus aigus aux sons les plus graves. Leurs rires étaient plus puissants, sans doute à cause de leur cage thoracique surdimensionnée.
Pour moi, cela ne faisait aucun doute, j’étais en présence d’une autre race d’hommes. Ce n’étaient pas des homo-sapiens et je pensais aux récits cryptozoologiques concernant le yéti, l’Almasty ou le Sasquatch...
Pendant ce temps, mes deux gardiens continuaient de folâtrer et ne s’occupaient que d’eux. Je prenais des photos, des notes... quand soudain je fus soulevée de terre par ...