1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1468)


    Datte: 02/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1463) -
    
    La semaine commençait à peine, je n'allais pas tarder à découvrir combien il était aisé de posséder un corps d'esclave de bien des façons... Ainsi, Monsieur le Marquis d'Evans, Le Seigneur et Maître dont j'étais la très humble et dévouée propriété avait entrepris de me faire subir une longue semaine de contraintes et de dressage, afin que je progresse plus rapidement dans l'appartenance totale et sans limites que devait impliquer ma condition d'esclave... Cela passait naturellement, ainsi que je l'avais vécu dès le premier jour par une utilisation permanente et intensive de mes modestes orifices, l'anal et le buccal, mais aussi par la nécessité d'anéantir définitivement toute forme de pensée autonome de ma part, toute capacité à laisser vagabonder mon esprit qui ne devait plus avoir qu'une seule et unique option et objectif : Lui obéir et Le servir, toujours, partout, en toutes circonstances, quelles que soient les situations, quel que soit ce qu’il me ferait endurer, subir, vivre, juste obéir dans un total est indéboulonnable lâcher-prise franc et sans équivoque...
    
    Les journées étaient ainsi particulièrement chargées, avec les nombreuses tâches domestiques afin que le Maître puisse évoluer le plus confortablement possible. Les fréquentes utilisations de mes orifices et quelques heures tout de même consacrées aux révisions... Tout au long de ces ...
    ... journées fort "studieuses", le jeune Châtelain ne s'adressait quasiment jamais à Son esclave. Je devais accomplir mes tâches avec la plus extrême discrétion. Lorsqu'Il usait de mes orifices, Monsieur le Marquis d'Evans ne s'adressait pas plus à moi. Il s'approchait, se saisissait de la laisse qui pendait sur mon torse et m'entraînait là où Il avait décidé de me posséder. Là, sans un mot de plus, le Noble plaçait mon corps nu selon Ses Volontés et me pénétrait sans préambule, me possédait avec force, jouissait violemment en moi, puis me congédiait d'un geste furtif, afin que je poursuivre la tâche qu'Il venait ainsi d'interrompre. Je préparais et servais également les repas du Maître, lorsqu'il n'était pas de sortie. Si tel était le cas, alors Il me positionnait sur le tabouret-gode, contre le mur, ainsi que je l'avais été au premier jour, mes poignets fixés au mur... et je demeurai ainsi pour le temps de la sortie du Maître dont j'ignorais naturellement quelle en serait la durée. Parfois plusieurs heures, à attendre ainsi rempli et immobile, dépouillé de toute forme d'autonomie, ou de pudeur, réduit à l'état de meuble quelconque...
    
    Un autre jour, un livreur sonna à la porte et apporta un grand carton assez plat. Après avoir signé le reçu au transporteur, le Maître ouvrit, sans attendre le carton et en sortit des éléments grillagés. Je compris qu’il s’agissait d’une cage en kit et à monter soi-même. Le Noble ne prit que quelques minutes pour cela. Résultat : Une jolie cage ...
«1234»