Plaisir d'offrir, joie de recevoir
Datte: 02/04/2022,
Catégories:
fff,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
fdanus,
lavement,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... l’arrondi de la hanche au bord étroit de l’hémisphère, au hasard d’abord, puis en cercles concentriques de plus en plus près du centre des délices.
Babette et Marion suivent les circonvolutions de ma bouche avec attention, l’une de bas en haut, l’autre la joue contre mon épaule. Là, j’y suis ! Je fends la lune en deux, à parts égales, les plus éloignées que je peux pour tendre la peau fine de la vallée secrète, pour étirer le cratère rose brun de ce petit trou qui palpite déjà. Je le laisse frémir tout son saoul, me charmant de tes grognements d’impatience. Je désapprouve un doigt curieux qui voudrait en éprouver la souplesse. Il est à moi, à moi seule !
J’approche mon nez de ton coccyx, le fais glisser lentement vers l’œillet, le lui fais à peine effleurer, par de légers mouvements circulaires. Mes lèvres frôlent les narines de Babette qui suce consciencieusement tes nymphes. Elle les quitte pour me tendre sa langue. Je la refuse, je ne veux pas que la mienne soit troublée par ta cyprine. Je veux que mes papilles soient vierges (ne ris pas !) pour découvrir ton goût le plus intime. C’est fait ! J’ai fiché la pointe de mon appendice, roulé comme une toute petite bite, au centre de la cible frissonnante.
Je lèche les plis de l’étoile, les pétales de la rosette s’étalent presque aussitôt… Hum… c’est bon ! C’est un peu poivré, avec un rien de… gingembre, peut-être. Je ne retrouve pas le souvenir de fleur d’oranger auquel je m’attendais. Par contre, ce n’est pas que ma ...
... salive qui les imprègne… Tu mouilles du cul, ma chérie ! Je n’aurai pas besoin de mon pouce pour attendrir ton anus, encore moins de l’index. C’est quasiment dommage d’y mettre du gel…
J’en dépose une grosse goutte, quand même, par sollicitude affectueuse. Je l’étale sur le pourtour de la rosace qui révèle son centre rose, je l’y pousse d’un doigt décidé. Tu tortilles des hanches, tu es prête, si prête que tu es à la limite de me reprocher de te faire languir. Ton cul se rehausse, tu as replongé entre les cuisses de Babette pour tromper ton attente. Le gémissement qui lui échappe prouve que tu as réussi.
Je pose le bout du gode en place. Marion ouvre grand les yeux. Je joue du poignet pour imprimer de lentes rotations à l’objet qui pénètre peu à peu dans le conduit, passe en douceur le sphincter décontracté, s’enfonce plus franchement. Le soupir d’aise dont tu nous gratifies m’autorise à poursuivre. Je retire à moitié la partie absorbée, la renvoie derechef, plus loin, plus profond. Je recommence, j’insiste, je répète… Seule la base dépasse de ton trou, maintenant. J’enclenche la molette, le gode vibre, tu geins.
Ma main va-et-vient, guidant la direction et la profondeur des enculages, lentement, sans hâte. Je prends tout mon temps pour faire monter le plaisir, accroître ton impatience… Là ! Tu viens de grogner de dépit. J’accélère, mes à-coups sont plus rudes. Je ramone, je lime, mes doigts butent sur la corolle, s’engluent de la mousse crémeuse qui la couvre. Tu ...