1. Plaisir d'offrir, joie de recevoir


    Datte: 02/04/2022, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, lavement, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Au début de ce « cadavre exquis », le hasard d’un shopping amène Chantal et Sophie à se découvrir des affinités réciproques. Ayant approfondi leur connaissance mutuelle et partagé diverses fantaisies érotiques, elles se rendent chez Chantal qui présente à sa charmante vendeuse les jeunes filles qu’elle héberge. La rencontre avec Babette et Marion s’ouvre sur un concours de masturbation. Marion gagne, Sophie perd. Avant l’exécution des gages mérités, les quatre complices s’octroient une légère collation, aussi gourmande que coquine, dont les débordements doivent être assumés.
    
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    Oui, j’étais inquiète quand tu m’as assigné la vérification de la température du thé. Des images furtives de gouttes de cire sur un téton m’ont fait frémir. Mais l’expérience s’est avérée plus douce qu’éprouvante. Les lèvres et la langue de Babette ont réveillé les frémissements de mes mamelons. En tétant le liquide qui les recouvrait, elle a mis fin à mes craintes.
    
    — Donc, tu veux que je te fasse une douche vaginale, à l’anglaise, dis-tu. C’est bien ça, Chantal ?
    
    Pas la peine de me répondre, la façon dont tu te tiens est une confirmation évidente ! Ta pose érotique tourne à l’obscénité. Je suis sûre que c’est exprès, pour m’exciter encore plus. Tu me défies. Tu veux me montrer jusqu’où tu es capable d’entraîner tes protégées dans la luxure. Eh bien, je vais la remplir de thé, ta grosse chatte ! Je vais la remplir jusqu’à ce ...
    ... qu’elle déborde. Ça la nettoiera pour de bon.
    
    J’ai cependant une hésitation en versant la théière. Quel effet va avoir le liquide sur tes muqueuses internes ? Je suis rassurée par ta réaction satisfaite. Trop satisfaite, même !
    
    Du coup, j’ai la tentation de fourrer ma main dans cette cramouille grande ouverte. Un bon fistage qui ferait tout sortir. Mais il faudrait tout recommencer, et il n’y aurait plus assez de thé. Par contre, je peux m’en servir comme d’une tasse, de ta chatte. C’est bien à ça que vous devez penser, toutes les trois, vilaines cochonnes. Je le vois à vos yeux. Bon ! Eh bien, pas la peine non plus de me montrer, je crois que je sais comment faire.
    
    Je colle ma bouche à ton con, le menton dans ton cul. Je tire la langue pour laper le mélange, mais ce n’est pas pratique. Elle n’est pas assez longue. Je ne suis pas une chienne. (Enfin, si, éventuellement, mais pas pour ça.) Tes hanches me serviront d’anses. Je les prends à deux mains et je te force à basculer le bassin vers moi. Là, c’est bon, je peux boire à même ton vagin.
    
    Drôle de goût, drôle de consistance, l’âcreté du thé se marie au douceâtre de la mouille. Les arômes des deux se mêlent étonnamment bien. Il y a peut-être une mode à lancer. Tout en buvant j’imagine un dialogue dans un bistro branché, au Bar des Chattes disons : « qu’est-ce que je vous sers, Madame ? », « un thé cyprine, Mademoiselle ». L’idée me fait rire et je manque m’étrangler. Je l’évite, heureusement, et j’avale tout jusqu’à la ...
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