1. Plaisir d'offrir, joie de recevoir


    Datte: 02/04/2022, Catégories: fff, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, lavement, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... dernière goutte de ce nectar nouvelle recette.
    
    J’ai le bas du visage tout barbouillé de CyprinoLipton quand je repose ma tasse vide. Je veux dire quand je remets ta chatte à l’horizontale. Elle n’est pas si bien nettoyée, après tout : je vois des filets gluants qui tapissent encore les petites lèvres. Je reprends la théière pour vider le reste dessus, et je les lèche soigneusement ensuite, histoire d’être certaine de leur propreté.
    
    — Voilà, ma chérie, te dis-je. Es-tu satisfaite de ta plongeuse ?
    
    J’ai envie de te répondre qu’il ne faut pas confondre mon cul avec de la vaisselle sale, mais non.
    
    — C’est très bien, Mademoiselle, vous feriez une excellente soubrette, te dis-je pour plaisanter.
    
    Ce n’est pas vraiment vrai car, en me levant, je sens du liquide qui me coule entre les cuisses. Comme je ne suis pas une femme fontaine, que je sache, et que je suis sûre de ne pas avoir laissé échapper un pipi involontaire, c’est donc parce que tu n’as pas vidé complètement ta tasse, comme tu dis. Ce n’est pas grave, je ne te punirai pas pour ça. Quoique…
    
    J’avoue que l’idée m’en est venue, et que si nous n’avions pas à nous occuper de ton gage et de celui de Marion, j’aurais eu probablement envie de te donner une fessée. Ou plus, si la chose t’avait plu. Je me contente d’une petite tape, un peu appuyée c’est vrai, sur tes jolies fesses, en te léchant les lèvres et le menton pour récupérer à mon usage les gouttes de thé-cyprine qui s’y sont égarées.
    
    Bon, revenons à ...
    ... notre préoccupation du moment. Pendant que les filles débarrassent le lit des tasses, théière et plateau, j’étale l’éventail de godemichés parmi lesquels Marion choisira celui qui te sera destiné. Je n’oublie pas d’y joindre le gel qui traînait dans le tiroir – tu vois que je pense à ton confort – et j’ajoute sans crier gare l’énorme gode noir que je t’avais présenté tout à l’heure. Celui qui t’avait tant inquiétée.
    
    Je vois tes sourcils qui s’arrondissent d’une nouvelle surprise angoissée que je fais mine d’ignorer en manipulant avec attention cet instrument de terreur. Quand j’enclenche le bouton que je cherchais, la partie supérieure, le gland pour être précise, se met à tourner en ronronnant et c’est ta bouche qui s’ouvre comme un O d’anxiété muette. Je te laisse languir un moment entre étonnement et crainte avant de pousser le second bouton qui allume la guirlande de lumières multicolores entourant la tête d’éclats successifs.
    
    Ton soupir de soulagement est plus que perceptible, mais il se transforme en rire lorsque tu vois le faux méat lancer des flashs par intermittences.
    
    — Eh oui, commente Babette un rien désabusée, nous aussi on a été surprises quand marraine a ramené ça…
    — Je l’ai trouvé à Bruxelles. Un artisan dont le père fabriquait des phares pour touristes en Bretagne. Lui, il s’est reconverti. J’aime bien : ça fait lampe d’ambiance. Pour éclairer le choix de Marion, c’est parfait, non ?
    — Tant qu’il ne sert que pour l’ambiance, je veux bien, me réponds-tu ...
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