Agréablement égoïste
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
voisins,
hsoumis,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe
... pressent sous les remparts pour l’admirer et aspirent à sa main.
L’un d’eux – un simple vicomte – sait piquer sa curiosité. Sans se déclarer trop vite, il envoie en ambassade deux fidèles : le seigneur Digital et le seigneur Lingal.
Ils entrent au château, franchissant le pont-levis et pénétrant dans la première cour. La princesse leur a lancé un défi : ils doivent la trouver, où qu’elle se cache, ainsi, le Vicomte la rejoindra pour un entretien particulier.
Le seigneur Digital explore en premier tous les coins et recoins, avec tact et discrétion, sa présence sait se faire opportune, il ne méprise pas les détours qui lui sont parfois réclamés par les gens du château, car il espère découvrir la cachette de la princesse. Dans le même temps, le seigneur Lingal se répand en paroles aimables, il ajoute quelques délicates attentions et les douceurs d’une langue habile. Leur mission est délicate mais non difficile, aussi prennent-ils tout leur temps. Ils parcourent les chemins de rondes, cours et courtines, salles et chambres, couloirs et escaliers jusqu’à la chambre de la dame des lieux. Ils trouvent porte close : une suivante, dans la chambre voisine, conserve précieusement la clé.
Le seigneur Digital dit à son compagnon :
« Dites-moi, Lingal, allez voir la demoiselle de compagnie, et essayez d’obtenir la clé, je suis sûr que vos talents d’orateur nous obtiendront ce que nous désirons. Je vous attends là, à la porte. »
Lingual trouve la suivante et engage la ...
... conversation avec elle. Il est si aimable et si délicat que la demoiselle veut le retenir à tout prix. Il prodigue ses caresses les plus douces mais elle attend plus, la coquine. Il la presse davantage, la pousse dans ses retranchements, elle soupire :
« Ne m’en veuillez pas Seigneur, ma… maîtresse m’a… demandé de m’assurer que vous étiez les parfaits ambassadeurs d’un galant parfait. »
Le seigneur Digital attend à la porte de la princesse et colle son oreille tout contre car il a perçu quelques mouvements à l’intérieur, des froissements d’étoffe.
En effet, la princesse peut suivre à travers la mince cloison la séparant de la chambre de sa suivante, tout le déroulement des négociations rapprochées et juger de l’éloquence de l’ambassadeur; à entendre les soupirs de son amie, une langue bien placée fait son petit effet et la princesse est prête à rendre les armes en se découvrant. Sa chambre lui parait soudain fort vide, un vide vertigineux qui s’agrandit sans cesse dans son esprit et réclame d’être comblé par un Vicomte compatissant, ou à défaut un de ses compagnons. Elle est trop timide pour le réclamer elle-même, mais le seigneur Digital s’enhardit et pousse doucement la porte.
Il a l’heureuse surprise de constater qu’elle n’est pas fermée comme il l’a d’abord cru et qu’elle s’ouvre largement à son passage.
« Finalement, » pense-t-il, «comme je le dis toujours, c’est facile, il suffit de mettre le bon doigt, au bon endroit, au bon moment. »
Il se glisse à ...