1. Beau-papa & Co (1)


    Datte: 01/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... uniquement en bois et mon plug fait plong quand je me pose. Ce bruit attire rapidement Christian près de moi.
    
    — Ma chère Christelle, il y aurait-il un souci ?
    
    — Non, aucun, c’est juste mon plug qui a tapé la chaise.
    
    — Oh, un plug. OK !
    
    Je le sens tout chose en apprenant ce que je porte dans mon cul.
    
    En le regardant me fixer mon corps, je sais maintenant tout de ses invitations. En plus de nous avoir vus baiser sauvagement comme des porcs, je parie qu’il rêve comme moi, de me baiser sans limites, sans tabou. Je me sens toujours plus attirée par cet homme et sa prestance. Il y a peut-être cette envie de lui faire l’amour comme pendant ma courte période où j’étais amoureuse de mon père. Et puis, devant cette complicité père fils, l’idée de me retrouver prise par les deux, fait son petit bonhomme de chemin. Enfin, il y a eu cette petite confidence adressée à mon Alain. Oui, j’avais bu un peu trop, je me suis laissé aller à lui dire le fond de ma pensée à mon Alain, ma main sur sa braguette. J’ai senti son excitation en entendant lui dire que je les voulais en moi, père et fils.
    
    Au moment de rentrer, Christian, cette fois, me colle carrément sa main sous ma robe, caresse mes fesses, glisse son majeur sur mon anus, sur mon plug, sa bouche baisant mes lèvres sans chercher à aller plus en profondeur. En fait, c’est moi qui force sa bouche. Ce baiser est tout aussi volcanique qu’avec mon Alain. Il me glisse avoir aimé me voir prendre dans cette ruelle par son ...
    ... rejeton. À ce moment des confidences, sa voix, ses mains, ce tout me fait fondre davantage. Lors de cette soirée, il me semble avoir compris pourquoi mon Alain partait toujours un peu en avance. C’est que j’ai surpris un clin d’œil complice entre eux. Mais cette fois, comme l’ascenseur était en panne, j’ai eu tout le temps d’imaginer ces deux hommes me prendre de partout en descendant les six étages de l’immeuble. Près de mon Alain, je le vois sourire, et ce n’est pas son mignon sourire d’amoureux.
    
    Non, celui-là est comment dire, fripon, polisson, comme s’il savait ce qu’il y avait eu trop brièvement entre moi et son père. Je l’entraîne dans cette ruelle, retire prestement ma robe, me pose sur ce banc, jambes repliées, écartées. Sa bite dehors, c’est sa langue qui me bouffe tout de ma chatte à mon cul avant de m’enculer, de me baiser et sous le regard de son paternel qui nous mate de la fenêtre d’une chambre. Je ne cesse de fixer cette fenêtre. Même si je ne le vois pas, là, je donnerais cher pour sentir sa belle bite me posséder. Quand je jouis, je fixe encore cette fenêtre. C’est à ce moment qu’il allume brièvement la lumière et me fait un signe, en fait, il applaudit.
    
    À peine dans notre studio, c’est moi qui prends les commandes. Je lui fais l’amour en pensant à deux brutes qui me souillent, me violent, me forcent à des choses brutales avec eux. Pendant un bref instant, je me vois même être cruellement fessée et je jouis si fort que tout le quartier a dû m’entendre.
    
    A ...
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