Beau-papa & Co (1)
Datte: 01/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... je qualifierais déjà de merveilleux. Dans l’ascenseur, je me sens toute chose. Collée à mon amant, mon genou coulisse le long de ses jambes, j’ai envie d’être méchamment baisée. Sa main sur ma culotte, son majeur sur mon plug, il peut juger de mon état d’excitation. Je crois que je me suis parfaitement fait comprendre. Mon baiseur m’entraîne dans un recoin sombre d’une ruelle. Pressé, il soulève ma robe, tète mes seins, sa main laboure ma chatte pendant que je sors ce zob et le guide dans mon con. Il me pilonne debout, ma jambe droite relevée.
Je ne suis pas longue à venir, tellement je suis chaude. Il me baise avant de me retourner, de me retirer mon plug et m’enculer sauvagement. Je jouis encore et il se vide dans mon cul. Ensuite, ce pervers m’enfonce ma culotte dans ma chatte baveuse et me remet mon plug d’un coup sec et me voilà encore à jouir. Il m’entraîne dans un fou rire dément. Nous devons même nous arrêter pour rire, collés l’un contre l’autre. Alain m’apprend que mon futur beau-père a tout vu d’une fenêtre de son duplex et nous rions de plus belle. Tout en riant, cette nouvelle m’excite que davantage. Pour la toute première fois, j’ai été vue en train d’être baisée, miam !
À peine la porte de notre studio fermée à double tour, Alain me couche à même le sol et me saute. En plus de me sauter, il me baise, m’encule. Il me force à lui sucer sa bite sortant de mon fion, tenant fermement ma tête et j’aime ce que je ressens en moi. Il me baise ainsi jusqu’à ...
... l’aube, me faisant hurler mes orgasmes. Il me vide ses couilles dans mon corps. En me couchant, je me sens merveilleusement heureuse, remplie du sperme de mon Alain. Ma bouche près de son oreille, je lui clame tendrement tout mon amour.
Trois semaines plus tard, rebelote. Je crois que Christian en pince sérieusement pour moi. Même que mon Alain me choisit ma tenue en me déclarant bille en tête qu’il veut que je plaise à son père, que je l’allume même. Les idées vicieuses de mon Alain, c’est ça qui entretient notre amour, le fait grandir au fil des jours. Et donc, jupe courte, évasée, un petit string couleur chair, pas de soutif, mes talons les plus hauts, style sandalette et, l’enfoiré, il m’impose délicieusement un petit collier de cuir tout fin avec un cœur fantaisie en guise de médaillon. Comme nous sommes en août, nul besoin d’un manteau. Du studio jusqu’à chez son paternel, mon Alain garde sa main sur mon cul, dévoilant mes fesses. Je ne vous dis pas la gueule des passants que nous croisons.
— Je sais à quoi tu penses, ma chérie, à mon père et moi te tringlant à tout va.
— Lui, c’est toi à ton âge et il a encore de très beaux restes. Si tu es comme lui à 40 balais, putain de dieu, on n’a pas fini de s’envoyer en l’air, tous les deux.
— T’es qu’une salope, mon amour.
— Et toi, un merveilleux baiseur bien vicelard. Dis, pourquoi t’enfonce pas ton doigt.
— Comme ça !
— Ouiii, j’adore avec le plug.
À peine chez Christian, je m’assois sur une chaise ...