1. L'amour est une catastrophe magnifique


    Datte: 14/08/2018, Catégories: f, fh, fhh, extracon, copains, fépilée, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe théatre, amourcach, Auteur: Lola De La Musardière, Source: Revebebe

    ... cris.
    
    LOUIS-OLIVIER,sur le ton de la supplique : Tu vas me faire jouir !
    
    La jeune femme s’active d’autant plus, souriant tout en suçant son ami d’enfance.
    
    LOUIS-OLIVIER : J’en peux plus !Il attrape la tête de la jeune femme et la tient fermement sur son sexe. Rha !!! Putain ce que c’est bon !Son corps est secoué de spasmes réguliers tandis qu’il jouit dans la bouche de Camélia.
    
    Camélia avale discrètement la semence et s’essuie la bouche avec le revers de sa main. Elle se lève pour attraper sa flûte de champagne, qu’elle descend d’une traite. Elle se retourne vers son ami, un sourire radieux aux lèvres.
    
    CAMÉLIA : Eh bien, voilà une bonne chose de faite !
    
    LOUIS-OLIVIER : Tu me tues.
    
    CAMÉLIA : Il ne faut rien exagérer. Je n’ai pas d’expérience. Je ne collectionne pas les hommes comme toi les femmes.
    
    LOUIS-OLIVIER : Tu ne perds rien. Moi non plus d’ailleurs ! Tu es très douée !
    
    Il se lève, se rhabille, récupère le sac de nourriture indienne et se dirige vers le coin cuisine pour le faire réchauffer.
    
    Acte II, Scène 1
    
    Les deux jeunes gens ont fini de manger. Les restes du repas indien traînent par terre. Louis-Olivier est assis sur le canapé-lit, Camélia qui s’était rhabillée, repose sa tête sur les genoux de son compagnon, les deux jambes tendues et prenant appui sur un mur de la pièce en face d’elle, découvrant ainsi largement la jarretière de dentelle de ses bas. Ses mains sont croisées, posées paisiblement sur son ventre. Louis-Olivier ...
    ... lui caresse les cheveux.
    
    LOUIS-OLIVIER : Eh bien, ça fait plaisir de te voir manger. Beaucoup de femmes ne mangent rien ou presque, ou alors sans plaisir et avec culpabilité.
    
    CAMÉLIA : Disons que c’est récent, mais en effet, je ne veux plus faire les choses autrement que par plaisir.
    
    LOUIS-OLIVIER : Faire l’amour à ton mari n’est pas un plaisir ?
    
    CAMÉLIA : Ce n’est pas une corvée non plus, mais cela ne m’excitait plus, j’avais envie d’autre chose. Pour être excitée, j’avais un besoin impératif de fantasmer, de m’imaginer des tas de scénario plus lubriques les uns que les autres.
    
    LOUIS-OLIVIER : Par exemple ?
    
    CAMÉLIA : Bon, je te passe tous les scénarios où tu es présent, d’accord ?
    
    LOUIS-OLIVIER : Pourquoi ? Au contraire ! Raconte-moi !
    
    CAMÉLIA : Non, résolument, non ! Je ne veux pas que mon imagination débordante te mette la pression.
    
    LOUIS-OLIVIER : Dis comme ça, cela ne m’encourage pas à entreprendre grand-chose !
    
    CAMÉLIA : Justement, qu’aurais-tu envie d’entreprendre en ce moment ?
    
    Le jeune homme cesse de jouer avec les cheveux de sa compagne, décroise ses fines mains afin de les poser de chaque côté de ses hanches généreuses et de rendre accessible son ventre et son bas-ventre, à peine recouverts par la robe de laine.
    
    LOUIS-OLIVIER,très lentement et joignant le geste à la parole : En ce moment, j’ai envie de te caresser doucement le ventre, de m’aventurer un peu plus bas…Camélia frémit. Eh bien ? Aurais-tu peur de ce qui va arriver ...
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