L'amour est une catastrophe magnifique
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
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extracon,
copains,
fépilée,
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
théatre,
amourcach,
Auteur: Lola De La Musardière, Source: Revebebe
... !
CAMÉLIA,continuant à lire : "Approchant les lèvres de la verge dressée, presser le gland et l’embrasser en suçant. "
CAMÉLIA,haussant un sourcil : Merci, mais j’y aurais pensé toute seule !
CAMÉLIA,reprenant la lecture : "Puis sur demande, faire pénétrer la verge plus avant et, en la pressant avec ses lèvres, provoquer une éjaculation. "
CAMÉLIA,se laissant tomber sur le canapé-lit : "Entourant la verge avec la main au lieu des lèvres, l’embrasser. "Elle tourne la page. "Cela fait, du bout de la langue, lécher partout le gland et en titiller l’ouverture. Le gland ainsi découvert, presser fortement, avec passion l’organe à moitié entré et le sucer en pressant. "
CAMÉLIA,à elle-même : Ma foi, voici une "entrée" sympathique. Et qu’est-ce que Vâtsyâyana propose en plat principal ?
Elle s’installe plus confortablement sur le canapé. Tout en feuilletant le livre et en regardant les illustrations représentant des couples dans des postures plus qu’acrobatiques, elle glisse distraitement une main sur sa cuisse et avec ses ongles, joue avec la dentelle de son bas, chatouille le petit morceau de chair frontalier, puis sa main s’aventure vers son shorty de dentelle noire, elle commence à se caresser très lentement, par-dessus le tissu. Elle referme le livre et le pose à côté d’elle.
CAMÉLIA,soupirant : Ah, Louis-Olivier, si seulement tu pouvais être un tantinet plus entreprenant… ça fait si longtemps que je pense à toi, que je rêve de toi. Si seulement tu savais le ...
... nombre de fois où j’ai joui rien qu’en projetant ton image dans mes pensées.
Camélia s’allonge à demi sur le canapé-lit et glisse un doigt dans son shorty.
CAMÉLIA : Oh ! Hum ! Je ne pensais pas qu’un jour je serai dans ton appartement, sur ton canapé, en train de me caresser en pensant à toi, et en te désirant si fort.
A présent, toute la main de Camélia est passée sous la fine dentelle.
CAMÉLIA : Oh ! Que c’est bon ! Me voici toute humide et toute chaude ! Il ne me manque que toi, que ta…
La porte s’ouvre brusquement.
LOUIS-OLIVIER : Camélia, j’espère que tu as faim !
Acte I, Scène 3
Le jeune homme jette un regard vers le canapé et observe la jeune fille alanguie, une main dans son sous-vêtement, le Kâma Sûtra posé à ses côtés. La jeune femme rougit violemment, se rassied sur le canapé, enfile sa robe, regarde le jeune homme, l’air coupable et interrogateur. Celui-ci est aussi gêné que la demoiselle, il lâche le sac contenant les plats du traiteur indien, se cache le visage dans les mains, reste immobile un moment, avant de se tourner vers la cuisine, et faire semblant de se préoccuper de la vaisselle sale dans l’évier.
CAMÉLIA : Écoute, Louis-Olivier, je suis terriblement gênée. Toi aussi de toute évidence. Mais on se connait depuis si longtemps ! Et on ne s’est jamais rien caché. Ce n’est pas si grave ?
LOUIS-OLIVIER : Je suis désolé.
CAMÉLIA : Tu n’as pas à être désolé, enfin ! C’est moi qui ai dépassé les règles de la bonne conduite. Je ...