1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1517)


    Datte: 31/03/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... volume assez conséquent soit maintenu dans mon fondement. De plus, Il fit également tester un bâillon-pénis sur ma bouche. Je demeurai donc ainsi encore un long, très long moment, bouche et cul remplis, les yeux bandés. Mais j'entendais cependant que c'était maintenant au tour des deux femelles soumises de tester ces si nombreux sexes factices, sous Son regard attentif. Mais aussi, bonheur insigne pour elles, avec la participation du Maître qui tenait à constater par Lui-Même sur Ses chiennes la qualité des objets soumis à Son jugement. Ce n'est donc que loin dans la nuit, peut-être même au petit jour, mes yeux bandés m'interdisant de connaître la luminosité du moment, que je fus ramené à ma cage pour un trop bref moment de répit, enfin libéré des instruments qui avaient empli durant de longues heures mes orifices et en particulier mon trou du cul, maintenant en feu et largement dilaté...
    
    Joëlle, donc, vint me chercher et à ma grand surprise, elle me mena jusqu'à la salle de bains, où une bassine d'eau encore savonneuse et un gant de toilette me permirent de faire une toilette plutôt correcte, même si c’était toujours à l’eu froide. Plus surprenant encore, une tenue classique m'attendait, même si je dus garder au cou le collier qui indiquait ainsi, lorsque je défaisais mon col de chemise, ma condition servile et mon appartenance par le monogramme et le nom prestigieux gravés sur le métal de la médaille pendant à un épais anneau. Ainsi sans doute allais-je sortir de ...
    ... l'appartement... ce qui ne m'était plus arrivé depuis le retour de la faculté et l'annonce de mes calamiteux résultats. Naturellement l'esclave Joëlle ne prononçait pas un mot, se contentant de me bousculer pour me presser ou me donnant une brève claque sur la nuque si je trainais trop à accomplir ce que l'on attendait de moi. C'est donc ainsi, vêtu d'un costume gris quelconque, d'une chemise blanche et d'une cravate que je suivis Joëlle à l'extérieur. Mon esprit fonctionnait aussi vite qu'il le pouvait, me demandant vers quelle nouvelle épreuve j'étais ainsi dirigé. Comme il se doit, je me tenais un pas en retrait par rapport à la belle esclave et m'appliquais à ne jamais me porter à sa hauteur puisqu'en l'occurrence, bien qu'elle fut esclave tout comme moi, elle évoluait en cette matinée en instrument du Maître et qu'à travers l'humble respect que je lui témoignais, c'est au jeune Châtelain que je le faisais...
    
    Nous étions parvenus dans le quartier des affaires de La Défense où des centaines d’ouvriers étaient en train de construire ce que l’on va appeler plus tard la grande Arche de la Défense (nous sommes dans les années 80). Un peu plus loin, de hautes maisons de pierres de style immeubles haussmanniens, de larges avenues, des platanes feuillus, des berlines noires de luxe aux vitres teintées générant une ambiance feutrée à l’intérieur... Même avant que le jeune Marquis ne fit de moi Son esclave, j'étais intimidé à l'idée des décisions qui devaient être prises derrière ces ...
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