1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1517)


    Datte: 31/03/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1512) -
    
    Ainsi elles se pénétrèrent mutuellement et jouirent uniquement sous ordre pour y être autorisées...
    
    Comme c'était désormais le cas chaque matin, l'esclave Joëlle vint me sortir de la cage où Maitre Edouard, Marquis d'Evans, avait daigné m'accorder quelques heures de sommeil, après une longue séance nocturne durant laquelle la souplesse de mon orifice anal avait été mise à rude épreuve, afin de tester une série de godemichets qu'un créateur plasticien avait obtenu l'honneur de présenter au Noble. L'homme, que l'on sentait fort intimidé devant la personnalité et le fort charisme de Celui qui lui accordait audience, et ce malgré le fort jeune âge du Maître, avait pu présenter à Monsieur le Marquis toute une série de godes et plugs de sa création, faits dans une matière plastique plus ou moins élastique et qui imitait à merveille la chair, les veines d’une véritable verge en érection ... Par ailleurs, un ingénieux système permettait d'une simple pression sur une poire raccordée par un tuyau de les faire gonfler et durcir à l'instar d'un pénis humain (si à notre époque c’est devenu banal, dans les années 80 c’était assez novateur). Le créateur ne cachait pas son espoir que le jeune Châtelain puisse recommander auprès du Cercle des Supérieurs et de Ses nombreuses et prestigieuses relations, ces instruments pouvant être objets de plaisir, autant ...
    ... qu'accessoires contraignant.
    
    C'était plutôt cette seconde option qui intéressait pour l'heure le Maître et j'avais du demeurer de longues heures en position d'offrande, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe relevée et offerte, cuisses largement écartées, recevant les divers modèles et tailles de godes dans le cul. Ces accessoires maniés par leur créateur démontrant qu'ils pouvaient s'avérer une excellente façon de châtier un (e) esclave. J'avais été si longuement et diversement pénétré, enculé, sodomisé, que j'avais le sentiment que mon anus n'était plus qu'un trou béant, dans lequel il aurait été possible d'enfiler les plus épais madriers. Pas une fois le Maître n'avait daigné s'approcher de moi, l'esclave, qui espérait tant qu'Il le possédât. Il demeurait confortablement installé dans Son fauteuil favori, Joëlle et Chloé agenouillées nues chacune d'un côté, à portée de Sa Main. Monsieur le Marquis l'avait dit, Il ne jugeait pas que l'esclave puisse mériter de recevoir l'honneur d'être châtié directement par Lui. Après les esclaves-étalons, c'était donc maintenant ce créateur (de ce que l’on appelle maintenant des sextoys) qui faisait office d'instrument dirigé à distance par le jeune Noble qui ajoutait ainsi pour Son esclave, le désespoir de Son Dédain, à la douleur des punitions infligées.
    
    Lorsque démonstration eut été faite de toutes les références du catalogue et de la façon de les utiliser dans le cul de l’esclave que je suis, le Maître ordonna qu’un gode d’un ...
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