1. Sagesse (8)


    Datte: 29/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Gerald93, Source: Xstory

    ... gobée.
    
    — Mais qu’est-ce que…
    
    Eh oui, certaines choses avaient changé en huit ans. Je n’étais toujours pas une grande fan de fellation, mais j’avais réussi à surmonter mon dégoût. Je suçais, pour le plus grand bonheur de mon mari, et à cet instant, pour celui de mon amant. Présentement, c’était d’ailleurs un juste retour des choses, puisque je récupérais en fait, sur sa queue et sur ses couilles, toute la jute qu’il m’avait faite couler.
    
    Une fois son outil bien propre, je me suis redressée et je lui ai donné le préservatif.
    
    — Je ne savais pas que tu… que tu pouvais… que ça ne te dégoutait plus.
    
    — Les temps changent… Les personnes aussi.
    
    Il s’est assis sur le bord du lit pour facilité l’habillage de son phallus plus dressé que jamais, et quand il s’est retourné j’étais déjà à quatre pattes, à lui présenter ma croupe. Là encore, il m’a prise sans difficulté. En deux poussées il était au fond et me ramonait à un bon rythme. Il était moins long mais plus large qu’Antoine. Ma bouche venait de le vérifier. Mais toujours ouverte et abondement lubrifiée je n’éprouvais pas de grand plaisir. Même si sentir mes fesses claquer sur son ventre était loin d’être désagréable.
    
    Pour changer d’angle, pour éviter que mes seins se lassent de balloter lourdement et surtout pour me resserrer, j’eus l’idée de reprendre l’oreiller, qui au passage arborait une tache de cyprine démesurée sur plus de la moitié de sa surface. Je l’ai retourné et je me suis lentement couchée dessus en ...
    ... y entrainant également mon pilonneur. Le cul en l’air, jambe jointe, j’augmentais ainsi les frottements et, j’espérais, les sensations. Cette position lui convenu, car je l’entendais respirer de plus en plus bruyamment.
    
    Il me poinçonnait, comme Gainsbourg l’aurait fait avec un ticket de métro aux Lilas. Je mouillais toujours, trop peut-être, pour sentir mon plaisir revenir, et il s’en rendit compte.
    
    — Tu as mal ?
    
    — Non, au contraire. C’est peut-être la capote ou bien mon cycle, mais je mouille tellement que je te sens moins.
    
    — Tu veux qu’on change de trou ?
    
    Je n’ai pas répondu. Mais pour une fois, la proposition de Gérald ne me fît pas peur. J’étais ouverte, décontractée, plus lubrifiée que jamais. S’il devait un jour me sodomiser, j’étais aujourd’hui dans les meilleures dispositions. Et puis, j’étais heureuse de pouvoir lui offrir mon cul. Aussitôt j’ai senti un doigt se poser sur mon ourlet, et s’y enfoncer. Surprise de ne pas avoir mal, j’étais maintenant curieuse de la suite. Après m’avoir bien écarté les fesses, je le sentis glisser entre mes petites lèvres, pour ensuite se présenter à mon anus. Avec délicatesse et fermeté, son gland est venu frapper à ma porte et s’y est engouffré avec une surprenante facilité. Il a fallut ensuite beaucoup plus de patience et de retenu pour que mon cul s’enfile toute sa bite jusqu’à la garde.
    
    Le salaud avait réussit à m’enculer et j’aimais ça. Il n’avait pas besoin de bouger. J’aimais cette sensation d’être dilatée, à ...