Sagesse (8)
Datte: 29/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
Après ce long baiser prometteur, j’ai posé mes affaires et balayé la chambre du regard. Pas très grande, mais bien agencée, chaque espace était exploité. Sur le petit bureau, au milieu d’autres victuailles, trônait une bouteille de vin blanc, doré, certainement du Sauternes. Il savait que j’adorais ça. Me voyant sourire, il m’a dit :
— Tu as faim ? J’ai pris des salades composées, des chips… et des tomates cerises.
Nous nous installâmes sur le king-size, et le couvre-lit vert jardin imita modestement le gazon de ce drôle de pique-nique en intérieur. Les premières gorgés du liquoreux m’avaient complètement détendue, et sans grand appétit, je grignotais tout de même les chips et jouais avec les billes de tomates. Ce petit jeu plut à Gérald et il se mit à les faire rouler sur mon bras, sur mon épaule, sur mon chemisier, puis en lâcha une dans mon décolleté.
— Ah c’est malin ! Mais en fait, je m’y attendais.
Et pendant que je la récupérais, il éloigna les chips et nos verres. Puis me demanda si j’avais besoin d’aide.
— Trop tard, je l’ai.
Il en remit une autre, me sourit et alla lui-même la chercher avec ma tacite approbation. Je reconnaissais cet œil qui pétillait, signe d’une envie coquine. Moi, j’avais surtout hâte de lui montrer ma nouvelle fierté : Mes seins ! Il les avait connus petits, alors que maintenant, je n’avais plus de complexe à laisser deviner mon 90 C, sous mon chemisier tendu. Je défis moi-même les boutons, alors que la tomate avait déjà été ...
... mangée. Puis sans attendre, j’ai dégrafé mon soutien-gorge. Les double-rideaux n’étaient pas tirés, j’étais en pleine lumière, et finalement j’aimais ça. Je m’assumais enfin.
— Wouhaaaa, magnifique !
Spontané et sincère, son commentaire me combla. Il m’avait déjà complimenté, lors de nos furtifs échanges vidéo. Mais là, je me savais en pleine ovulation, et mes hormones mettaient tous mes atouts en valeur. Mes seins, devant son regard puis dans ses mains, n’avaient jamais été aussi beaux.
Il prit à nouveau une bille de tomate et la fit rouler sur ma poitrine. J’avais une furieuse envie d’être caressée, pelotée, bousculée même. Et c’est ce qu’il fit après avoir fait disparaitre le fruit dans sa bouche. D’abord il m’allongea, puis il posa ses mains sur mes deux obus gonflés par le désir. Ce fut presque un soulagement de sentir ses caresses tant attendues. Puis il les embrassa, les lécha, les mangea…Jamais mon corps de femme n’avait autant été comblé à cette endroit. Antoine n’était pourtant pas manchot, mais c’est mon mari. Il les connait depuis toujours et peut-être ne les a-t-il pas vu grossir, durant toutes ces années.
Il prit une autre tomate et tomba la chemise à son tour avant de revenir vers moi. Il l’a fit à nouveau rouler, lentement, et imagina une route aléatoire, de mon cou jusqu’à mon bas-ventre.
— Tiens, tu ne mets plus de shorty ?
— Si, toujours, mais je n’en avais pas de coordonné avec mon soutif. Alors exceptionnellement…Mais si m’a culotte ne te ...