Amour et soumissions (3)
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: mastered, Source: Xstory
... cette sensation de liberté qu’offre la nudité. Le fait de n’avoir aucune entrave. Bien que ne trouvant pas mon corps attirant, je suis à l’aise avec mon surpoids. Je n’ai donc aucun mal à me regarder dans un miroir et à être nu seul ou devant d’autres personnes. Ainsi sortant de la douche, après une journée riche en émotion, je m’accordais un moment de plaisir égoïste. Habituellement, je naviguais sur différents sites d’histoire érotique, les préférant au site de vidéo porno afin de laisser mon imagination faire le reste. Cette fois, j’avais le droit à un petit plus. Je repensais à elle, à ses lèvres surtout.
Alors que j’étais en plein milieu de ma masturbation, je fus interrompu par des coups à la porte. Je n’attendais personne, j’ignorais donc l’importun. Les coups se faisaient insistants, énervés et frustrés, je me levai et allai à la porte sans même prendre la peine de me couvrir. Qui que ça puisse être, je n’allais pas perdre de temps et gentiment l’envoyer chier. J’ouvris la porte d’un geste brusque en grand :
— Je vois que tu as reçu mon message, dit-elle en s’approchant et m’attrapant directement le sexe.
C’était un de mes Kleenex. Je ne savais même plus son prénom. C’était une petite brune. Très fine avec des gros seins. Pas grand-chose dans la tête. Le genre à tout jouer sur son physique. C’est tout ce qu’elle pouvait faire avec ses capacités cérébrales d’un mollusque sur le dos d’une tortue. J’avais bien peu de respect pour ce genre d’aguicheuse et ...
... prenais plus de plaisir à les rabaisser qu’à les baiser. Je m’étais servi d’elle plusieurs fois. Un bon vidoir, plus habituée à faire courir les hommes que le contraire, plus je la traitais mal plus elle revenait.
— Quel message ? Qu’est-ce que tu fais là, répondis-je sans pour autant me dérober.
— Ça fait trois semaines que j’t’écris et que tu m’réponds pas. Alors je suis venu prendre les choses en main, disant ça, elle augmentait le rythme et la pression sur ma bite. Ça pas l’air de t’déplaire.
— Si je ne réponds pas, c’est que je n’ai pas besoin de toi.
Je sentais que je n’allais plus résister longtemps et je ne voulais pas lui donner la satisfaction de réussir son petit stratagème. Surtout, ce n’était pas d’elle dont j’avais envie. Je l’attrapais par les épaules, la repoussais sans ménagement et lui dis :
— Tu ne viens que quand c’est moi qui te siffle. Bonne soirée, » et je lui claquai la porte au nez.”
Elle insista sur ma porte, mais abandonna rapidement en poussant un cri de frustration. Fière de ma petite remise en place, j’étais tout de même bien excité par cette salope. Je décidais de faire retomber la pression en pianotant sur mon téléphone, ne voulant pas me faire jouir à cause d’elle. Je vis qu’elle m’avait bien écrit pour me dire qu’elle allait venir si je ne lui répondais pas. J’effaçais le texto sans y répondre. Je préférais faire autre chose, me consacrer à une autre personne :
— Je t’écris juste pour te dire que je pense à toi. Passe une bonne ...