1. Le petit chaperon bleu


    Datte: 26/03/2022, Catégories: fh, inconnu, ascenseur, intermast, pénétratio, Humour occasion, Auteur: Milie Ouate, Source: Revebebe

    ... sors son engin.
    
    Mon Dieu qu’elle est grosse ! Je m’accroupis et m’empresse de prendre son sexe tout entier dans ma bouche. Je l’avale goulûment. Son gland est doux et chaud.
    
    Putain, qu’est-ce que c’est bon !
    
    Il glisse sa main dans mon encolure et commence à me malaxer les seins, puis à passer le bout de ses doigts sur le contour de mes mamelons. J’adore tellement ça.
    
    Je suis trempée. J’ai envie qu’il me dézingue, là, maintenant, dans l’ascenseur. Je me fous de tout, je veux juste que ça arrive vite, très vite.
    
    Je vous laisse imaginer le tableau, à deux, coincés dans un mini ascenseur avec mes bottes de pluie et mon ciré Adidas. Ubuesque !
    
    Je continue à le sucer, une main sur ses fesses, et ouvre la braguette de mon jean avec l’autre main. Il doit me prendre, là, tout de suite. Ça ne peut pas se passer autrement.
    
    Je me redresse doucement en lui embrassant le torse jusqu’à remonter à sa poitrine. Il a les tétons tout durs, lui aussi. Je le branle, on commence à s’embrasser. Ce genre de baiser qui te retourne autant qu’un cunni. C’est vraiment intense, il passe sa main doucement sur mes joues, s’approche au maximum de ma bouche, comme s’il voulait y glisser ses doigts.
    
    Je colle mon sexe contre le sien et commençait à me titiller le clitoris avec son gland tout humide. Il mouille à mort, lui aussi. Je sens son liquide couler le long de mes lèvres. Je frotte son gland énergiquement sur mon bouton, je suis vraiment à deux doigts de jouir.
    
    Mais j’en veux ...
    ... plus. Je veux sentir sa bite en moi. Évidemment, on a pas de capotes, donc on se met d’accord sur le grand classique du« solo la puntita », et là… oh mon Dieu ! Ma chatte est super serrée. Je sens le contact de son gland sur chaque micro-millimètre de la paroi de mon vagin. Impossible de me contenir plus. Je lâche un gémissement de plaisir ultra libérateur ; peut-être un peu trop, je l’apprendrai à mes dépens.
    
    Sentir cette bite en moi, ça fait un moment que j’attends ça et, franchement, elle ne me déçoit pas. Je me suis bien appliquée à la garder dure dans ma bouche et elle me le rend bien.
    
    L’extase est de courte durée. La voisine du dessus, qui a une vue plongeante sur la cage d’ascenseur, vient d’assister à notre premier coït et ça ne lui a visiblement pas plu autant qu’à moi.
    
    On se rhabille en deux-deux, sans pouvoir se retenir de pouffer de rire. On essaye d’être les plus silencieux possible, mais impossible de nous contrôler. Il y a trop d’émotions qui se mélangent à la fois entre l’orgasme, le rire et la honte d’avoir été pris en faute. Je n’ai plus aucun discernement quant à l’attitude à adopter.
    
    Au même moment, bruit de pas dans l’escalier : c’est la concierge, tout essoufflée, accompagnée du technicien Otis : notre public est au complet.
    
    En deux coups de clé à molette, le technicien remet l’ascenseur au bon niveau et on peut s’extirper de ce « antre à plaisir » que je ne reverrai plus jamais du même œil, c’est certain.
    
    Regards penauds, échangés entre ...