1. Le petit chaperon bleu


    Datte: 26/03/2022, Catégories: fh, inconnu, ascenseur, intermast, pénétratio, Humour occasion, Auteur: Milie Ouate, Source: Revebebe

    ... toutes ses couches de vêtement et lui caresser enfin le torse.
    
    Rhô, je suis tellement excitée. Le chauffeur de taxi aussi a l’air à point, et j’ai l’impression qu’il regarde plus derrière lui que devant ! Quelque part, ça m’excite aussi qu’il nous mate. Enfin, pas autant que d’imaginer prendre la bite de mon beau brésilien entre mes doigts…
    
    Je me lance ! Je descends ma main vers sa braguette, histoire de vérifier si l’excitation est bien réciproque. Aucun doute, il bande comme un dingue. Elle a l’air épaisse à souhait ; j’adore !
    
    Plein de scénarios se mélangent dans ma tête. J’en pioche un au hasard. J’ai envie de le sucer, là, sur la banquette arrière du taxi, et qu’il m’étouffe avec son sexe jusqu’à ce que j’en puisse plus… je suis brûlante.
    
    Un bruit de warning me sort de mon fantasme. Nous sommes arrivés.
    
    Dans le hall d’immeuble, nous croisons la concierge qui est en train de passer la serpillière.
    
    — Bonjour, madame !
    
    On arrive devant la porte de l’ascenseur : c’est un vieil ascenseur parisien avec une porte en fer, coulissante, avec des croisillons. L’espace est vraiment minuscule : « 2-3 personnes maximum ». C’est écrit.
    
    À peine la porte refermée, Nathaniel me saute dessus. J’avais été jusqu’ici la plus entreprenante, mais là, je sens qu’il prend le relais.
    
    C’est sûr, mon petit ciré Adidas lui a fait de l’effet ! Il s’empresse de me l’enlever, puis remonte mon pull et mon soutif d’un coup sec, au-dessus de ma poitrine, et se jette sur mes ...
    ... seins. Il me les bouffe… Littéral ! Sa brutalité contrôlée me fascine, je sens que je vais adorer ça.
    
    L’ascenseur gravit les étages, miroir de ma propre excitation, puis s’arrête net d’un coup. J’ouvre les yeux et découvre que nous sommes coincés entre deux étages… L’idylle tournerait-elle soudainement au cauchemar ?
    
    Il sort la tête de mes seins, me regarde et on éclate de rire ! On arrive plus à s’arrêter, je suis à deux doigts de me pisser dessus… J’en pleure !
    
    Je sèche mes larmes de rire et tente de me ressaisir. Il y a un bouton d’urgence à activer, activons-le ! Je me retrouve au téléphone avec le central d’appel Otis.
    
    Autre ambiance…
    
    — Oui, bonjour. On est coincé dans l’ascenseur.
    — (…).
    — On est deux.
    — (…)
    — Hum, OK. C’est au 23 rue Condorcet dans le neuvième.
    — Je vous envoie un technicien au plus vite, mais c’est dimanche, hein !
    — Merci. On bouge pas, nous, de toute façon !
    
    Ma blague n’a fait rire que moi. Bon… Voilà, voilà, ça c’est fait.
    
    Un petit silence s’installe. On se dévisage longuement. C’est doux. Une mèche de cheveux tombe sur le devant de mon visage. Il la replace délicatement derrière mon oreille et me lance :
    
    — Tu n’imagines même pas comme j’ai envie d’être en toi.
    
    Il prend ma main et la glisse le long de son bas ventre puis à l’intérieur de son jean. Sa bite est toute dure, au bord de l’explosion.
    
    Mon Dieu qu’elle est douce ! C’en est trop, je ne peux plus attendre. Je lui arrache d’un coup sec les boutons de son 501 et ...