Le Tournoi des six nations (4)
Datte: 24/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lartmateur, Source: Xstory
... affermis, ses propos m’emportent dans une nouvelle extase. Je ne le croyais pas possible, pourtant, je lâche une nouvelle coulée de ma lave. Mon magma se disperse au sol avant de se perdre sous les doigts de ma bienfaitrice. Je la sens joindre les cuisses, se tortiller pour finalement elle aussi feuler son plaisir.
Devant nous, la scène pornographique s’est poursuivie. Céline, les yeux révulsés, n’est plus que râles, épuisée par cette sodomie de soudard. Seules les mains énormes du sportif la maintiennent par les hanches. Incapable de la moindre rébellion, il la relève. Incroyable vision, cet hercule soulève mon épouse comme un fétu de paille. Empalée par ce pieu de chair, ses pieds ne touchent plus terre.
Les bras passés sous ses cuisses, comme un simple exercice de musculation, il la fait alors coulisser sur son membre énorme. A chaque coup, il semble vouloir s’enfoncer un peu plus loin, aidé en soi par la gravité. L’emmanchement est total. Les seins lourds de ma chérie sont à leur paroxysme de leur taille. Les aréoles se sont élargies et les tétons dressés tels de petits sexes. La tête dodeline, elle n’est plus qu’une poupée quasi inerte.
Pourtant, je l’entends tout de même murmurer.
— Putain que c’est bon, il m’éclate le cul avec son mandrin cet enfoiré.
Gordon est pris de soubresauts et se met à gueuler.
— Oh ma God.
— Oh my God.
— Oh oui, vas-y, donne-moi ton jus. Envoie-moi ton foutre dans le cul mon salop.
— C‘est trop bon de se faire ...
... enculer.
Les deux protagonistes se séparent lentement, Gordon retient Céline, qui, quasi inconsciente, choit à ses pieds. Hors d’haleine, le géant s’assit à ses côtés, visiblement épuisé par sa performance. Nonchalamment, une des ses mains flatte le flanc de mon épouse, d’un geste aimant, mais surtout gratifiant.
Je me retourne, Madison m’embrasse. Nos langues se retrouvent et nous partons dans un nouveau baiser énamouré.
Derrière nous, Céline et Gordon recouvrent peu à peu leurs esprits. Mon épouse se relève, nous regarde, et comme par mimétisme, embrasse son amant. Le baiser est vorace et la bête de l’anglais se redresse. Une petite stupeur ou une peur panique se lit dans le regard de Céline, qui d’un éclat de rire, allume la douche pour tenter de refroidir les ardeurs du rugbyman.
Tous les quatre, nous pouffons de rire.
— Je crois que j’ai eu ma dose d’émotions pour aujourd’hui, déclare-t-elle.
Je décide de me retirer, de laisser les deux amants pratiquer leurs ablutions et entraîne Madi vers la seconde salle de bain située dans la chambre d’amis. Sous la douche, je récupère, tout en explorant le sculptural corps de ma nouvelle amie. Nous nous becquetons, nous gamelons passionnément. Nos mains, nos bouches, nos sexes se cherchent, se trouvent. Le feu brûle nos entrailles. Nous nous étreignons. Elle se retourne, me tend son postérieur en une invite muette qu’il ne serait pas galant de refuser. Comme téléguidée, ma verge trouve instinctivement le chemin de sa ...