1. Le Tournoi des six nations (4)


    Datte: 24/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... engloutissent alors mon sexe.
    
    Mais là, le diamètre du chibre de l’assaillant me semble disproportionné au regard du conduit qu’il convoite. Ébahi, fasciné, captivé, je regarde tout de même, médusé, les va-et-vient qu’entame la bite de l’étalon dans les reins de mon épouse transformée en véritable femelle en rut. Elle crie, jure, brame, hurle, gueule, vocifère, blasphème. Je découvre une Céline jusque-là inconnue, adepte de coprolalie.
    
    — Oh putain...
    
    — Oh Putain...
    
    — Ohhhhhhhhhhh..... Ouuuuuu...
    
    — Oui, vas-y...
    
    — Encule-moi profond...
    
    — Prends-moi comme une chienne...
    
    — Vas-y, profite bien de ta pute...
    
    — Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, j’aime ta grosse bite...
    
    — Encule-moi, je te dis...
    
    — Pousse là ta queue nom de dieuuuuuu !
    
    — Hummmmmmmmm, Hooooooo,
    
    — Défonce-moi le cul bordel.
    
    Puis s’adressant à moi.
    
    — Regarde chéri comme elle me baise cette queue, t’as vu ? Il va bien à fond dans mon cul. C’est le meilleur coup que j’ai eu. Tu l’aimes ta chérie, ta petite pute ?
    
    — Dis-moi que je suis une pute, une salope qui se fait troncher.
    
    — Tu sais, il m’a baisée par tous les trous cet enfoiré, Hummmmmm... Houuuu...
    
    Ses questions n’appellent en réalité aucune réponse de ma part et se veulent plus comme de l’auto-excitation.
    
    — Haaaa... haaaaa... je jouis...
    
    Gordon se déchaîne et la besogne maintenant sans ménagement à grands coups. Hypnotisé, il perd toute retenue. Ses coups de boutoir projettent ma pauvre chérie ...
    ... en avant. Cassée en deux, les fesses relevées au maximum, son bourreau l’emplit de toute sa longueur. Il en ressort entièrement. L’orifice, obscène, distendu, appelle le retour de son pourfendeur qui y replonge.
    
    La scène est lubrique, impudique, odieuse, mais je ne peux m’en détourner et la trouve finalement stimulante. Je bande à nouveau.
    
    L’atmosphère de stupre est chargée d’odeurs puissantes de sexe, de sueur, de sperme et de gel douche.
    
    Dans mon dos, un corps nu vient m’étreindre par la taille. Un souffle chaud sur ma nuque, de petits baisers viennent me chatouiller. Une main effleure mon ventre, joue dans mon pubis, descend, vient empaumer mon sexe, recommence une lente masturbation. Je me laisse faire. C’est divin.
    
    Madison se colle à moi, la tête posée sur mon épaule, de petits déhanchements, agace ses tétons sur ma peau nue. La poitrine ferme, les tétons durcis m’électrisent.
    
    Je devine son autre main glisser vers son jardin d’enfant. Elle joue avec son intimité que j’imagine trempée.
    
    — Ils sont beaux, me souffle-t-elle.
    
    Je ne sais pourquoi, sans une once de jalousie, j’aime voir Céline ainsi prise et crier sous les assauts bestiaux qui la brutalisent.
    
    — Oui, me contenté-je de répondre.
    
    — Je n’ai jamais voulu qu’il me prenne par là, me dit-elle. Il est beaucoup trop gros.
    
    — Mais avec toi, je veux bien essayer, je sais que tu feras attention «honey».
    
    La voix suave, les paroles douces, sensuelles, me bercent.
    
    Ses mains actives, ses seins ...
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