1. Le mitan de la fin


    Datte: 14/08/2018, Catégories: ff, sf, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... glisser les mains au creux de ses reins. La peau malgré l’âge avancé conservait une certaine élasticité, un certain tonus. La fesse, passablement fripée, n’était plus aussi ferme qu’elle avait dû être. La chair de cuisses pendouillait quelque peu, mais pas de flasquitudes. La musculature, signe d’un corps entretenu, répondait présent.Arcadia remarqua avec un certain amusement que mamie, coquette, portait une petite culotte sexy très mode dont le blanc cassé tranchait sur sa peau noire. Amusement car elle en avait la réplique exacte dans sa cantine.Susan remarqua son intérêt. Interruption du baiser. Murmure au creux de l’oreille :— Je suis sûre qu’elle te plaît ! Normal, c’est toi qui me l’as offerte. Avec le soutien-gorge assorti. Accompagné du petit mot que tu as lu.Elle enchaîna sur un mordillement de lobe avant de rajouter :— Tu es encore plus mignonne que dans mon souvenir. Comment fais-tu pour garder une peau aussi pâle ?Puis retour sur lobe. Ses doigts pressés se bousculaient pour déscratcher le haut de la robe chinoise.— J’ai hâte de retrouver tes tétons. Je n’en ai jamais rencontré ni vu d’aussi gros.Arcadia n’était pas dupe : Susan accumulait les détails pour achever de la convaincre. Elle y parvenait. Peu à peu, Arcadia admettait l’histoire. Aussi improbable que cela paraissait, cela semblait réel.Leurs bouches se joignirent dans un nouveau baiser au féminin.Après cinquante ans d’attente, Susan montrait une certaine impatience. Avec fébrilité, elle fit sauter les ...
    ... derniers scratchs. La robe d’intérieur passa l’obstacle du cou et atterrit au pied du canapé. Le commandant était nue. Les doigts de la vieille dame avaient illico fondu sur les énormes tétons qui la faisaient fantasmer.Dans un parallélisme parfait,elle les roulait,en massait les bouts d’un pouce léger,les frôlait de ses longs ongles manucurés,les agaçait du creux de la paume en affleurements circulaires,les étirait avec douceur serrés entre l’index et le médius,les courbait jusqu’à ce que les extrémités touchent les aréoles,les poussait vers l’intérieur des mamelons pour qu’ils les engloutissent.
    
    Arcadia avait l’habitude que ses tétons hors normes soient l’objet de toutes les attentions. Mais, pour la première fois ils apparaissaient, si l’on excepte leur dégustation labiale ininterrompue, comme l’unique centre de sollicitude. Susan semblait hypnotisée par ces bouchons et, en tout cas pour l’instant, elle ignorait le reste de son corps. Seuls existaient ces deux turgescences.
    
    Cette vénération très efficiente mettait la jeune femme en transe. De ses seins durs comme le roc explosaient/s’échappaient des flots de plaisir qui se répandaient dans tout son corps. Chaque mouvement provoquait des frissons sur tout son épiderme allant jusqu’à générer des contractions vaginales.
    
    Contrairement à son habitude, elle subissait. Lorsqu’elle avait voulu prendre quelque initiative, Susan lui avait susurré :
    
    — Je t’en prie, laisse-moi t’aimer.
    
    C’était dit si gentiment ! L’emploi ...
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