1. Second Empire des Sens


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, caférestau, fête, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, jeu, historique, initfh, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... demi-mot. C’est souvent ainsi qu’on s’attache une femme, et je compte bien faire complètement mienne cette chère Valentine !
    
    Je sens que le temps est venu d’approfondir nos relations. Posément, je glisse mes deux mains sous ses aisselles afin d’aller cueillir sous le décolleté de sa robe deux lourds fruits bien mûrs ! Je constate avec satisfaction que c’est bien le cas. Ni trop peu ni trop de trop…
    
    — Oh, Armand… non… je vous prie.
    
    Avec application, je les révèle au grand jour. Madame de Beaumontel mérite décidément bien son nom. Son décolleté ne laissait pas beaucoup de doutes à ce sujet, mais les douces masses blanches que j’ai à présent dans mes mains me le confirment très agréablement ! C’est un grand plaisir de les pétrir, d’en sentir la chair entre mes doigts avides et voraces.
    
    Toujours plaqué contre son dos, ses seins lourds et voluptueux dans mes larges mains, je taquine les tétons du bout de mes doigts, tandis que je l’embrasse passionnément dans le cou, puis lui croquant délicatement le lobe de l’oreille.
    
    D’une voix demi-défaillante, elle murmure :
    
    — Que me faites-vous là, Monsieur de Masny-Loffre ?
    — Je vous témoigne l’expression sincère de ma passion dévorante pour vous, Madame de Beaumontel.
    — Vous… vous êtes un odieux personnage, Armand ! Vous abusez de ma faiblesse !
    
    Tout en continuant à l’embrasser et à titiller ses tétons, je suggère :
    
    — Si vous vous sentez vraiment en danger avec moi, vous pouvez crier, quelqu’un viendra assurément ...
    ... vous secourir, d’autant qu’une réclame mal venue pourrait être préjudiciable à l’établissement.
    — Vous… vous voulez vraiment que… que je crie ?
    — Moi, ce que je veux vraiment, c’est surtout vous faire crier de plaisir, Valentine !
    
    Elle rougit aussitôt :
    
    — Oooh !
    
    Je vois bien qu’elle hésite. Selon la bonne morale, je suis en train d’outrager sa vertu, et à ce titre, je suis un malotru de première catégorie. Mais d’un autre côté, Valentine semble apprécier qu’un homme puisse la désirer et lui faire éprouver bien des choses. Il est vrai aussi que le vin capiteux ne l’aide pas à avoir les idées claires. J’ai bien fait de parier sur le fait que son défunt mari n’avait pas été un amant digne de ce nom. Je suis même prêt à miser qu’il a été pire que médiocre, il a été inexistant. Car les réactions de mon invitée s’apparentent plus à celle d’une jeune fille que celles d’une femme mature ayant eu des enfants. À moins qu’elle ne soit bonne comédienne, mais je ne crois pas à cette possibilité.
    
    J’accentue mon emprise sur Valentine, malaxant voluptueusement ses beaux seins, jouant avec ses tétons, constellant son cou et ses épaules de baisers ardents. Elle respire fortement, elle tremble aussi un peu.
    
    — Arrêtez, je vous prie… je… j’ai… j’ai du mal à respirer.
    
    En effet, sa respiration devient légèrement saccadée et sifflante. Un peu inquiet, je relâche ma pression, elle s’apaise un peu. Je suggère :
    
    — Votre corset ne serait-il pas trop serré ?
    — Je… je le pense…
    — ...
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