1. Second Empire des Sens


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, caférestau, fête, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, jeu, historique, initfh, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... assez surprise, je vois bien qu’elle hésite. Elle finit par demander :
    
    — Pas plus ?
    — Je souhaite avoir le plaisir de dîner en tête-à-tête avec vous. L’homme propose, la femme dispose.
    — Mais, pourquoi souhaitez-vous m’aider ?
    — Comme je vous l’ai déjà dit lors du bal, vous me plaisiez, chère Valentine, si je puis me permettre cette familiarité. Donc j’essaye de trouver une solution qui nous agrée tous les deux. Votre toit d’un côté, votre présence de l’autre.
    
    Incertaine, elle hésite, pesant le pour et le contre. Elle insiste :
    
    — Juste d’un simple dîner, dites-vous. Rien d’autre ? Rien de plus ?
    — Un dîner en tête-à-tête. Rien de plus, sauf si vous en décidez autrement.
    
    Elle rougit. Elle réfléchit, elle se tord les mains, puis ajoute dans ma direction :
    
    — J’ai votre parole, Monsieur de Masny-Loffre ?
    — Je préfère Armand, je vous prie.
    — J’ai votre parole, euh… Armand ?
    — Vous avez ma parole, chère Valentine.
    
    Un peu crispée, elle accepte mon offre. Après quelques réglages de points de détail, je la salue, puis je prends congé. Le lendemain matin, l’équipe que j’envoie règle très vite le problème. L’après-midi, j’envoie un coursier porteur d’un message pour convenir d’une date. Dans sa réponse, elle me remercie, et me propose ce jeudi soir pour le dîner en tête-à-tête. Son billet se conclut par un post-scriptum :
    
    — J’ai toujours votre parole, Armand ?
    
    En lisant cette phrase, je souris. Une femme, qui prend trop de précautions de cette ...
    ... nature, est souvent une femme qui a peur de faire un faux pas, ce qui est bon signe pour moi. Je réponds que je lui enverrai un fiacre privé, puis j’ajoute le nom du restaurant dans lequel je l’invite, ce qui devrait la rassurer. J’oublie simplement de préciser que ce sera dans un salon privé, dans les étages.
    
    Puis arrive le fameux soir.
    
    Mon invitée arrive dans une robe très proche de celle qu’elle avait lors du bal, sauf que celle-ci est uniquement bleue et possède moins de dentelles. Je crois comprendre que cette robe possède plus bas une faible armature, contrairement à celle du bal. Une fois son châle ôté, fidèle à la mode, je peux admirer son cou et ses épaules qui sont fortement dégagés, m’offrant une fois de plus une belle vue sur son décolleté, surtout si j’ai le bon point de mire. Un lourd collier de perles, le même que celui du bal, dirige encore mieux le regard sur sa blanche poitrine.
    
    Valentine n’a pas protesté que nous dînions en tête-à-tête de façon privée. J’ai réservé un salon au troisième étage, muni d’une belle vue sur la capitale. Un vaste paravent joliment orné coupe la pièce en deux parties, l’une vaste, l’autre plus petite. La partie salle à manger est meublée avec goût, sans ostentation. Alors que nous allons prendre place autour de la table, je lui désigne une grosse clochette posée à côté de ses couverts :
    
    — Si vous pensez avoir le moindre souci, agitez cette petite cloche. Quelqu’un viendra aussitôt.
    — Je vous remercie de cette… délicate ...
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