Second Empire des Sens
Datte: 22/03/2022,
Catégories:
fh,
caférestau,
fête,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
historique,
initfh,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... uniquement en jupons et en bas. Une fois de plus, alors qu’elle est à moitié nue dans mes bras, assise sur mes cuisses, je tente d’argumenter :
— Vous êtes veuve, Valentine, et moi, je suis aussi veuf. Les convenances sont saines et sauves. Il en aurait été autrement si l’un de nous était marié, mais ce n’est pas le cas.
— Ça ne va faire que deux ans que mon mari est décédé.
— Idem, le temps du veuvage est aussi dépassé, d’autant que, les dernières années, vous étiez plus ou moins séparés de corps.
Toujours assise sur mes genoux, elle s’agite :
— Comment savez-vous ça, Armand ?
— Voyons, ma chère Valentine, tout se sait dans notre petit monde ! De plus, lors du dîner, vous l’avez laissé sous-entendre. Mais, voyez-vous, presque tout le monde fait semblant de ne pas savoir.
— Et… et vous croyez qu’on sait aussi pour nous deux ?
— Il y a peut-être des rumeurs, mais l’une en chasse l’autre. Il y a tellement de rumeurs dans Paris que ça en donne le tournis.
— Des rumeurs ? Je ne veux pas qu’il y ait des rumeurs sur ma personne !
Je joue voluptueusement avec un de ses seins :
— Dans ce cas, c’est trop tard, ma chérie.
— Comment ça ?
— Une première ancienne rumeur fait état d’un rapprochement de votre part avec le professeur de piano de vos enfants, il y a quelques années.
— Mais… mais… c’est de la calomnie !
Passant outre, je dépose un gros baiser appuyé sur la masse molle de son sein, juste à l’orée de son aréole bien marquée :
— Sans aucun doute. ...
... Ajoutons qu’on jase sur le fait que votre benjamine ne ressemble pas trop à votre défunt mari.
— C’est aussi de la pure calomnie, elle ressemble énormément à ma sœur aînée ! Tous les enfants ne ressemblent pas forcément à leur père !
— Je sais… Enfin, on raconte aussi des choses étranges sur une captation d’héritage.
— Encore cette histoire ? Les gens sont décidément méchants, je n’ai jamais…
Je pose mes doigts sur ses lèvres :
— Peu importe, ma chérie. Ce qui compte, c’est nous deux. On peut dire ce qu’on veut sur vous comme sur moi, ça n’atténuera pas le désir que j’ai pour vous.
— Je reconnais que ça me dépasse… je n’arrive pas à comprendre pourquoi vous vous intéressez à moi.
— Ah oui ? Et pourquoi êtes-vous donc devenue ma maîtresse ? Vous pouviez dire non.
Un peu prise de court, elle rougit :
— Parce que… parce que j’aime bien…
— J’en suis particulièrement heureux.
Je l’embrasse, elle répond à mon baiser. Quelques instants plus tard, nous sommes nus tous les deux, enlacés, peau contre peau, en train de faire l’amour. Valentine apprend lentement à se lâcher, à laisser parler son corps et son désir.
J’adore folâtrer dans sa touffe si fournie, mais j’admire aussi son somptueux fessier que j’adore couvrir de baisers, voire même de m’en servir comme coussin. Et c’est cette partie de son anatomie qui me tente aujourd’hui. Valentine aime bien que je m’occupe de ses fesses, bien que la première fois, elle ait été interloquée de la façon dont je les ai ...