Second Empire des Sens
Datte: 22/03/2022,
Catégories:
fh,
caférestau,
fête,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
historique,
initfh,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... fortement. J’en profite pour la scruter, la détailler. Je grave dans mon esprit ses seins lourds et laiteux, son ventre rond et reposant, ses hanches pleines, son bosquet fourni qui déborde un peu de ses cuisses jointives. Il ne me manque plus que son fessier, mais c’est juste une question de minutes. Durant ce temps, elle grignote prestement trois petites pâtisseries, preuve que, chez elle, jouir creuse !
— Armand, vous me gênez terriblement à me dévisager de la sorte !
— Je vous rassure, il n’y a pas que votre visage que je regarde…
— Oh ! Vous êtes un vilain coquin !
— Vous n’imaginez pas à quel point !
Je repousse le plateau, afin de me rapprocher de ma conquête. Me voyant m’approcher d’elle, Valentine frémit. Je lui souris :
— Détendez-vous, ma chère Valentine. Vous savez pourtant très bien que je ne vous souhaite que du bien.
— Je sais… mais je ne peux pas m’en empêcher… c’est si nouveau…
Elle soupire un grand coup :
— C’est la première fois que je me sens si… si désirée… et ça me fait tout drôle !
— Pourtant, il n’y a pas de quoi, c’est normal… Vous êtes une femme très désirable.
— C’est peut-être normal pour vous, mais pour moi, c’est nouveau.
Avant que je ne réponde, spontanément, elle prend ma main entre les siennes :
— Armand, j’ai passé l’âge de croire aux contes de fées. Ne m’interrompez pas, sinon je ne vais pas y arriver…
Me regardant intensément, elle presse fortement ma main dans les siennes :
— Oui, j’ai passé l’âge de ...
... croire aux contes de fées. Je ne me fais pas beaucoup d’illusions sur ce monde qui nous entoure. Quand vous dites que vous me désirez, je vous crois. Est-ce qu’il y aura un lendemain, je ne sais pas, même si vous m’avez affirmé que vous vouliez me revoir. Mais ce que je sais, c’est que j’ai envie que vous me désiriez et que vous me fassiez les mêmes choses que tout à l’heure. Et même si après cette soirée, c’est fini, au moins, j’aurais vécu ça. Vous… vous me comprenez, Armand ?
Je suis bouche bée devant cette confession. C’est moi qui ai maintenant du mal à répondre correctement :
— Je… je vous comprends, Valentine… Je peux vous assurer à nouveau qu’il n’est pas dans mes intentions que vous soyez juste l’aventure d’un seul soir. Je suis affirmatif !
Elle se moque un peu de moi :
— De deux soirs alors ?
— Deux jours, deux semaines, deux mois, deux ans… plus, j’espère… Honnêtement, je ne sais pas ce que l’avenir nous réservera. Peut-être que c’est vous qui romprez. Qui peut savoir ? Mais en attendant, c’est vous que je désire, c’est vous que je veux.
Elle lâche ma main. Toujours agenouillée, elle écarte les bras de son corps nu, puis tend ses mains vers moi :
— Alors je suis à vous…
N’y tenant plus, je me jette maladroitement sur elle. Nous retombons sur les draps, l’un à côté de l’autre, enlacés. Je couvre ses lèvres, son nez, ses joues, ses paupières de baisers voraces, tandis que mes mains avides recherchent toutes ses courbes.
— Ah, Valentine !
— Soyez ...