1. Un si joli salon en briques rouges


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, ff, fhhh, grp, frousses, extraoffre, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... mon visage. D’autres s’invitent dans mes mains, dans ma bouche. Parfois, j’entends un râle, suivi d’un éclaboussement tiède sur mon corps, ou d’une giclée de sperme chaud sur mes lèvres ou sur ma langue.
    
    — Ah qu’elle est bonne ! Pourquoi j’ai pas la même à la maison !
    — Ja,’k wil elke dag dezelfde vrouw in mijn bed !
    — Oh yes, me also, I want this woman in my bed daily !
    
    À moitié consciente, je sens l’odeur forte de ces verges qui caressent inlassablement mon corps, mon visage, qui s’attardent dans mes mains ou ma bouche, le temps qu’elles giclent. À peine ma chatte est libre qu’une autre queue prend le relais, s’enfonçant en moi, me farfouillant.
    
    Dans tout ce tumulte, je sais que Gilles est là, présent, en train de veiller à ce que tout se passe bien. Mon Gilles à moi…
    
    Peut-être donne-t-il des consignes, des indications, je ne sais pas, je suis comme ailleurs. Pourtant ce n’est pas la première fois que je fais l’amour en groupe, mais ce soir, c’est spécial, c’est différent. Peut-être parce que j’ai à mes côtés une compagne de jeu et de turpitude !
    
    — Ah ce cul, ce cul !
    
    Parfois, mais plus rarement, certains s’essayent de s’introduire dans mon cul. Parfois aussi, ils n’y arrivent pas. Combien de fois ai-je vu un homme éjaculer avant d’arriver à me pénétrer. Et je sais par diverses indiscrétions qu’il en est de même ailleurs. Surtout quand il s’agit d’une première fois !
    
    Toujours des bites, encore des bites, sur moi, en moi, et parfois de mains, des ...
    ... lèvres. Tout mon corps n’est plus que sperme, sueur et souillure !
    
    Géraldine et moi sommes allongées l’une à côté de l’autre, nues, sur ce grand lit carré de deux mètres sur deux. Nos doigts sont entremêlés. Autour de nous, plein d’hommes debout ou agenouillés sont en train de se masturber fébrilement. Ma voisine me confie :
    
    — Merci, Sandra, grâce à toi, j’ai pu franchir le pas…
    — Oh, il n’a pas fallu beaucoup te pousser…
    — Si, si ! Tu m’as prise par la main, comme maintenant.
    — Je suis contente que tu sois heureuse d’avoir franchi le pas.
    
    Géraldine sourit vicieusement :
    
    — Et puis, ce n’est pas ma faute, c’est toi qui m’as poussée !
    — Non, non, Géraldine. Je ne t’ai pas poussée, je t’ai tirée !
    
    Serrant un peu plus ses doigts autour des miens, elle pouffe de rire :
    
    — On va le dire comme ça. En parlant de pousser-tirer, dommage que tu n’aies pas de zizi, ça ne m’aurait pas déplu que tu me tires !
    — Tu te dévergondes à vitesse grand V, ma chère !
    — Je préférerais que tu dises « ma chérie ».
    — Dois-je comprendre que tu as des vues sur moi ?
    — Hmm, qui sait…
    
    Les premiers jets de sperme s’écrasent sur nos deux corps nus, le feu d’artifice humide et gluant commence. Fermant les yeux, je serre plus fort la main de ma voisine, tandis que ma peau perçoit l’impact mou de toute cette semence qui pleut sur nous. Ça dure une longue minute. Puis pensant que c’est fini, j’ouvre les yeux. C’est alors que je vois certains hommes qui essuient carrément leur engin sur mes ...
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