1. Celle qui ne savait pas dire non (2)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... simple. Surtout quand flotte entre les deux un parfum de sexe. J'ai dû faire une commande par internet à livrer en mon absence à l'adresse du voisin, à charge pour moi d'aller le récupérer. Et pas à mon mari. Il fallait jouer fin. Hubert était d'accord et il fut convenu par téléphone que j'irais chez lui le samedi matin, quand mon mari était parti faire son footing.
    
    Il m'ouvrit la porte en robe de chambre, ce qui me surprit. J'étais en tenue de samedi estival, c'est à dire en short et tee shirt. Bien que soigneusement fermée, la robe de chambre dissimulait à peine sa nudité intégrale, j'en fus vite persuadée. Quelques poils argentés, très érotiques à mes yeux, perçaient l'échancrure de son léger vêtement au niveau de sa poitrine. Il m'offrit un café, me fit asseoir face à lui, croisa les jambes et je pus brièvement apercevoir ses couilles. Bien pleines, les couilles. Je me tortillais sur mon siège avec ma tasse dans la main, embarrassée et excitée à la fois. Il m'avait bien allumée, le coquin. Son torse velu était de plus en plus apparent, ses cuisses aussi, bien musclées. Il me complimenta pour ma tenue qu'il jugeait "très sexy" et me "rajeunissait" ce qui fait toujours plaisir. Il se mit à discourir sur ses vacances passées dans un club naturiste ("je suis bronzé partout") et évoqua la "disponibilité" des épouses dans ce club, manière de dire qu'il en avait sauté plusieurs.
    
    - Et les maris ? demandé-je
    
    - La plupart du temps, ils sont d'accord, répondit-il. ...
    ... Certains assistent même aux ébats pour voir leur femme jouir avec un autre.
    
    J'étais de plus en plus excitée. Il s'en aperçut, posa sa tasse sur la table et vint s'asseoir à côté de moi. Il me prit la main et la porta (sans que je résiste) entre ses jambes, sous la robe de chambre. Il se mit à bander et je le branlai. Ce fut un geste instinctif. Quand j'ai la main sur une queue, il faut que je la branle. Nos langues se cherchèrent, se trouvèrent et il souffla :
    
    - Fous-toi à poil.
    
    Exécution. En quelques secondes, j'étais nue, absolument nue, des pieds à la tête. Il s'allongea sur le canapé, nu lui aussi, révélant en effet un bronzage intégral. Ses petites fesses caramel étaient vraiment adorables, j'avais envie d'y planter mes dents. Sans que nous ayons échangé un mot, j'étais déjà sur lui en 69. Pendant que je me gavais de sa bite (une bite épaisse et charnue, comme je les aime), sa langue parcourait mon intimité, de la chatte à l'anus et de l'anus à la chatte. J'interrompais parfois ma succion pour laisser échapper un gémissement car sa langue était vraiment diabolique de précision. Je m'aperçus après que j'avais dégouliné sur son visage ce qui ne le dérangea en rien.
    
    Puis il me dit :
    
    - Viens sur ma bite, j'ai envie de voir ton cul remuer.
    
    Je ne demandais pas mieux. Une fois qu'il eut coiffé une capote, je m'empalai avec volupté sur son dard désormais bien gonflé par mes soins. Pendant que je faisais aller et venir ma croupe, d'avant en arrière mais aussi sur les ...