1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (11)


    Datte: 19/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... sanglots de rage m’échappant malgré moi. J’entendis le glissement d’un verrou ; la grille s’ouvrit, solidaire du panneau de bois inférieur. Je tombai presque sur le prêtre assis face à moi. Il me saisit aux épaules et m’attira brusquement à lui. Je tentai de le repousser mais, plus fort que moi, il me serra contre sa poitrine et m’embrassa fiévreusement, me baisant le visage et la gorge, posant ses lèvres partout où il rencontrait ma peau nue.
    
    Saisie, je reconnus cette bouche. Ces lèvres aux douces caresses dont les baisers couvraient mon visage et le haut de mes seins. Ces mains qui s’égaraient déjà sur mon corset, cherchant à l’ouvrir. Ces jambes qui, dans la position assise malcommode, tentaient d’écarter les miennes.
    
    Ô mon cousin, mon cousin aimé, mon cousin que je croyais perdu à jamais pour moi…
    
    Je m’abandonnai alors complètement à lui, relevant ma robe et m’asseyant sur lui tandis que, ayant renoncé à trouver les crochets de mon corset, Armand brutalisait mes seins pour les sortir et mieux les mordre. Me serrant contre lui avec délice, je remarquais qu’il avait sorti sa verge, déjà dure. Il avait dû prendre plaisir à entendre le résumé de mes dernières mésaventures, qu’il ignorait jusque-là. Me soulevant légèrement, je glissai le long de son dard, me plaçai un peu au-dessus de lui et me laissai retomber avec un sanglot de plaisir. Le vît de mon cousin m’enconna profondément.
    
    Je serrai Armand de mes bras, de mes jambes ; lorsque mes sanglots me laissaient ...
    ... quelque répit je baisais avidement son visage et ses lèvres, avant de le laisser à nouveau lécher mes seins dénudés. Il y avait moins d’une semaine que je croyais l’avoir perdu pour toujours, mais cela m’avait paru une éternité.
    
    Mon adoré cousin pressait ma taille contre lui, bougeant parfois légèrement, me faisant sentir à quel point sa verge était dure en moi. Dans notre passion furieuse, nous laissions échapper de légers gémissements ; le bruit des lèvres d’Armand sur ma peau, de sa langue humidifiant mes tétons, de sa bouche aspirant ma gorge et mon cou, devait résonner dans toute la chapelle. Trois coups secs contre le bois du confessionnal m’effrayèrent. Mon cousin murmura :
    
    - N’ayez crainte, ma douce Solange, le prêtre nous prévient. Quelqu’un approche de la chapelle, nous allons libérer le confessionnal.
    
    Le prêtre ? Par quel stratagème… Et d’ailleurs comment mon cousin en était-il venu à prendre sa place pour entendre ma confession ?
    
    Mais peu importait, à l’instant présent la verge que je connaissais le mieux au monde m’enconnait, je ne souhaitais rien de plus.
    
    Je m’apprêtai à me rajuster, mais mon cousin me retint. Il murmura :
    
    - Regardez, ma cousine, ce confessionnal présente une double issue… l’une conduit dans la chapelle, l’autre à la sacristie, par une ouverture percée dans le mur…
    
    Il me saisit sous les fesses et se leva, me portant, toujours emmanchée sur son vît, me serrant contre lui, dans mes habits débraillés, avec ma robe relevée à la ...
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