veni, vidi ... (3)
Datte: 16/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: balista, Source: Xstory
... lascivement, je ne suis pas de bois et les souvenirs de notre récente partie ne font rien pour calmer la chose. Je me penche sur son oreille pour lui murmurer :
— Tu me mets au supplice et je ne vois pas comment me détendre.
Sa mère nous regarde d’un air soupçonneux en se demandant ce que je peux bien comploter avec sa fille qui n’était pas prévue. Gustave, lui il s’en fout royalement et se permet une conduite qui devrait faire dresser les cheveux sur la tête de sa femme et de sa fille dans un cas normal, et mon épouse se prête parfaitement au jeu, ayant la main entre eux dans un exercice masturbatoire.
Je me pose la question quand l’orage va éclater et s’il va éclater avant que moi j’éclate.
Je connais mes classiques : frais tendu, rien n’est si chaud qu’un bas de femme, mais cela ne suffit pas quand ma chère Ophélie propose.
— Papa, j’aimerais faire visiter la maison à Alain pendant que vous discutez de choses sérieuses.
— Mais chérie, lui rétorque sa mère, c’est un peu l’heure de te coucher.
— Mais ma chère maman, tu as déjà oublié que je suis majeur et que les heures où je me couche ne regardent que moi.
— Va et reviens bientôt, conclut Gérard.
— C’est qu’il y en a des choses à voir et visiter.
— Viens que je te montre tous nos trésors, tout d’abord ma chambre.
À peine la porte fermée, c’est l’assaut des troupes chrétiennes lors de la prise de Jérusalem.
— Vite à poil, on a peut-être pas trop de temps.
Rapidement, on se retrouve en ...
... tenue paradisiaque, tel Adam et Eve et c’est pendue à mon cou qu’elle s’approprie ma bouche, ses jambes ceinturant ma taille et moi bandant comme un satyre, je ne peux empêcher qu’on s’embroche pratiquement tout de suite.
Elle me fait signe de m’allonger sur son lit et sans se décoller, elle mène une sarabande que j’en bande encore. Vraiment avec elle, c’est comme avec le cochon, tout est bon. Je me redresse un peu pour avoir la bouche à la hauteur de ses seins que je suce, triture, lèche comme un fou en espérant la venue du lait. Nous montons ensemble en puissance, les coups de soc sont de plus en plus affirmés.
Juste avant de partir ensemble dans un orgasme partagé, on entend frapper (en Suisse, je dirais toquer) à la porte et mère :
— Vous faites quoi là-dedans ?
Impertinente, d’une voix rauque qui ne trompe personne, Ophélie répond :
— On trie les perles.
Du coup, ça nous a coupé la chique.
— Je peux rentrer ?
— Oui bientôt, mais il faut qu’on ramasse encore quelques perles. On saute dans nos habits pour être présentables puis on ouvre la porte, un peu ébouriffés.
— Cela sent une drôle d’odeur, comme dans certaines boîtes quand ils oublient d’allumer de l’encens.
— Eh ! Bien, ce serait bien que tu m’en fournisses.
Cette petite a vraiment l’esprit pratique et le sens de la répartie.
— Écoute, Alain et Gérard ont un problème à résoudre et ton père comptait sur ce souper pour le régler, mais tu as tout brouillé.
Se tournant vers moi, ...