Pauline Inspecte Le Sous-Sol - Histoires de Sexe

Pauline Inspecte Le Sous-Sol

... bruits, en essayant de ne croiser personne. Aurais-je rencontré un employé séduisant, je me serais laissé tenter? Oui, c'est possible, j'étais en chaleur. Je mouillais, j'étais en manque de sensations, je voulais une queue.

Au 1er sous-sol, je suis de nouveau restée sur ma faim, tout était calme et aucun rai de lumière ne témoignait d'une activité souterraine et nocturne. J'ai décidé de poursuivre mes investigations au niveau le plus bas, le plus sombre, le moins fréquenté, après avoir enlevé mes escarpins, par souci de discrétion. C'est là qu'enfin j'ai aperçu au fond d'un corridor encombré de boîtes en carton et de rouleaux de tissus ce qui m'a semblé être une poignée de porte. Elle avait quelque chose de magnétique, là au fond elle brillait, et je m'étonnais de ne pas l'avoir vue plus tôt. J'étais fascinée et excitée à l'idée de découvrir quelque chose de nouveau et de dissimulé aux yeux de tous! J'avais tellement fantasmé ces deux dernières semaines depuis que Clémentine avait soufflé cet étonnant "sous-sol" à Gustav.

Sans faire de bruit, lentement, je me suis faufilée jusqu'à la porte très étroite, sans déblayer la voie, prenant soin de ne rien déplacer. J'en ai tourné avec les plus grandes précautions la poignée en bois et suis entrée, le souffle coupé.

La pièce était noire, sans lampe au plafond avec simplement un fauteuil haut sur pattes, placé devant le mur. Une tirette permettait de lever une minuscule plaque de bois. J'ai pris soin de refermer la porte, ...

... me suis assise et j'ai actionné le dispositif.

Incroyable! Voilà le spectacle que j'avais devant mes yeux ébahis. Une pièce aux murs capitonnés d'environ 15 mètres carrés, aménagée dans le plus pur style fétichiste. Des anneaux partout, des cordes, des chaînes et des outils divers. Un homme nu, cagoulé, allongé sur une table haute en fer, les jambes pendant dans le vide et les chevilles prises dans des sangles en cuir, chaque main tenue par un lien en tissu fixé au plafond.

La pièce sans fenêtre ni lucarne était parfaitement éclairée et je n'en distinguais pas la porte d'entrée. Camouflée sans doute et donnant probablement sur un corridor secret.

Non seulement le sexe mâle était dur et dressé, mais il s'enfonçait dans le sexe d'une femme (elle s'appelait Isadora) qui portait une combinaison en latex bleu cachant tout son corps exceptés sa bouche, ses yeux, ses mains et son sexe trempé. Elle allait et venait sur le membre turgescent, méthodiquement. Je ne connaissais pas sa voix mais ses formes étaient superbes. Je regardais ses fesses musclées venir taper sur les testicules alors qu'elle s'empalait en gémissant.

Clémentine accroupie sur la bouche du prisonnier y frottait ses lèvres avec frénésie. Mon dieu, mais elle était de toutes les fêtes? Toujours là à mettre en scène des protagonistes de choix pour se gaver de sexe!

Une troisième femme (elle s'appelait Tigresse) complètement nue qui portait un loup vénitien en dentelle bleue se tenait à leurs côtés, sans ...