Pauline Inspecte Le Sous-Sol
Datte: 13/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byFionaH, Source: Literotica
Pendant les deux mois où Gustav a séjourné à New-York, la vie à l'hôtel aurait pu être moins épicée, moins excitante.
Mes clients VIP étaient tous adorables certes, mais la routine s'était de nouveau installée. J'arrivais le matin très tôt, je revêtais ma tenue à logo de l'hôtel, j'entrais en contact avec tous les clients super privilégiés et je m'efforçais de rendre leur séjour plus agréable encore. Mais si les journées toujours chargées me donnaient l'occasion de démontrer mes compétences professionnelles auprès de la direction, je ressentais un certain ennui. Pour être honnête, je ressentais à vrai dire un grand déplaisir à ne plus pouvoir me déshabiller devant Gustav.
J'avais très envie d'être nue, de m'exhiber, qu'on me regarde, qu'on ait envie de moi. Je voulais sentir qu'un homme aimait jouer avec moi, m'observer, et voir sa queue durcir quand je lui jetais un regard plein de désir. J'avais envie d'être en son pouvoir. Mais Gustav était rentré chez lui pour ses affaires et il allait me manquer. Pire, j'imaginais qu'il organisait des soirées fétichistes dans sa grande maison de SoHo, avec d'autres jolies femmes, qu'il bandait pour elles, et j'en étais très jalouse.
Lors de nos dernières aventures, Clémentine avait murmuré une phrase que je n'avais pas comprise mais j'avais entendu "sous-sol". Et il était clair pour moi qu'ils parlaient du sous-sol de l'hôtel, et ils en parlaient comme d'un lieu à protéger, à dissimuler.
Les jours suivants, je suis allée ...
... régulièrement faire un tour dans les niveaux -1 et - 2 du Lutetia qui demeuraient pour moi une zone peu connue. Endroit peu glamour, réservé aux travailleurs de l'ombre alors que ma mission VIP me laissait elle dans la lumière des beaux salons de l'hôtel. Je prétextais n'importe quoi quand je tombais sur des employés. Et je sais y faire! De longs couloirs compliqués, des salles, des débarras, des couloirs à n'en plus finir, le sous-sol ne manquait pas de coins où exercer des activités, hum je dirais?, un peu perverses. Au fil de mes pérégrinations, rien ne m'a semblé suspect. Aucun aménagement "spécial", aucun objet qui m'aurait rappelé les séances avec Gustav n'ont attiré mon attention. Tout était normal, comme peut l'être un sous-sol composé de locaux techniques, de pièces de stockage ou de salles de repos pour les employés. Je n'avais même pas trouvé de lingerie abandonnée par erreur par l'une de mes coreligionnaires. C'était un beau labyrinthe mais sans mystère.
Un autre soir, il faisait lourd, orageux à Paris et je me suis sentie émoustillée par la pleine lune. Après le travail, j'ai mis mon porte-jarretelles rose fuchsia, offert par Gustav, les escarpins noirs à longue aiguille, et placé mon loup vénitien dans la poche de mon manteau noir qui cachait à merveille mon corps nu et excité. Je n'ai pas pris l'ascenseur pour éviter d'être vue, et je suis descendue par l'un des petits escaliers annexes qui font le charme des vieux établissements. Lentement, en épiant tous les ...