1. Quand les évènements vous dépassent


    Datte: 13/08/2018, Catégories: f, h, fh, fhh, jeunes, dispute, vidéox, photofilm, Masturbation facial, Oral confession, Auteur: Ekkeko, Source: Revebebe

    ... elle n’aurait envie de lire (vous savez, ce genre d’encyclopédie héritée d’un aïeul qui fait bien dans une bibliothèque mais que personne n’utilise plus depuis l’invention d’Internet, ces bouquins qu’on relègue en haut de la bibliothèque : je leur avais enfin trouvé une utilité). La vue était plongeante sur le lit que l’on voyait dans sa totalité, de côté, avec notre penderie en fond : idéal, si en plus elle se changeait.
    
    Durant la nuit suivante, l’enregistrement a très bien fonctionné. Il s’est déclenché au moment où Mél est entrée dans la chambre, sublime comme d’habitude, dans une petite nuisette. Elle s’est allongée, a lu un moment puis s’est endormie. J’enclenchai l’avance rapide et guettai le moindre mouvement de sa silhouette endormie. Je la vis se lever 54 minutes plus tard, revenir avec un verre d’eau, le boire et le poser sur sa table de nuit. Rien d’autre ne viendra perturber sa nuit si ce n’est mon retour au petit matin où je me suis vu entrer et me coucher à ses côtés.
    
    Nous n’avions pas fait l’amour depuis deux jours, presque trois. J’espérais que ce soir serait le bon. Pas où nous allions faire l’amour car je bossais encore, mais justement où elle était seule et allait peut-être s’octroyer un petit solo. Pour ma part, je m’étais fait une petite branlette expresse avec les dernières minutes de sa sextape, me finissant devant les décharges de foutre de ses amants sur son visage. J’attendis avec impatience son SMS de bonne nuit qui signerait peut-être le ...
    ... début des hostilités masturbatoires entre elle, son coussin et un hypothétique sextoy.
    
    « Suis vraiment crevée, HS, vais me coucher de bonne heure ce soir, bonne nuit chou, je t’aime ! » Boum, boum, boum… non, rien d’inquiétant : c’est juste mon cœur qui s’emballait à la lecture de son SMS. Je lui répondis rapidement et sortis prendre l’air pour me clarifier l’esprit. J’étais obnubilé de savoir ce qu’elle allait faire, de ce que j’allais pouvoir enregistrer cette fois. J’avais l’impression de devenir fou. En fait, ma femme me faisait perdre la tête ; elle m’obsédait à m’en faire faire des conneries qui pourraient me coûter cher, à commencer par notre relation. Quoi qu’il se passe, croustillant ou pas, je me jurai à moi-même de débrancher mon système d’espionnage dès demain et de le foutre en l’air.
    
    Le petit matin arriva enfin, et avec lui l’échéance de découvrir ce que me réservait cet ultime et illégal enregistrement. Arrivé dans la chambre, j’essayai de déceler le moindre effluve intime de Mélissa, mais rien ne trahissait une activité solitaire. Je me couchai auprès de ma belle toujours assoupie mais je ne réussis pas à m’endormir de tout le reste de ma pauvre nuit.
    
    Aussitôt que j’entendis la porte d’entrée claquer derrière Mélissa qui partait à son travail, je me ruai hors du lit avec l’intention de vérifier le résultat de mon forfait. Je récupérai la cam et la branchai sur le PC…
    
    Eh bien, c’est finalement dans son tiroir à chaussettes que Mélissa remisait ce ...
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