1. La maman marocaine de mon pote


    Datte: 07/03/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yanis93, Source: Hds

    ... t’inquiète pas » dit-elle dans un éclat de rire qui me permis de me détendre un peu. Elle me tendit le t-shirt, « tu as un très beau corps, les filles doivent te courir après » me dit-elle en souriant. Un énième sourire certes mais celui là avait je ne sais quoi de provoquant. « Euuh, oh tu sais tata, pas tant que ça en fait. Enfin j’ai eu des copines mais rien de sérieux ». « Détends-toi, tu es tout rouge » s’esclaffa-t-elle avant de reprendre, « c’est naturel, et puis tu es beau garçon, il faut en profiter. Ca fait si longtemps pour moi…. ». Avais-je bien entendu ses derniers mots ? Ou était ce juste le fruit de mon imagination ? Cette maman marocaine, que je connaissais depuis tout petit et qui n’avait jamais fait aucune allusion sexuelle ou sentimentale devant moi venait de m’envoyer un signal. Ca bouillait à l’intérieur de moi, mon cerveau tournait à 100 à l’heure et un début d’érection commençait à déformer la couture de mon jeans. « Si longtemps ? Tu es une très belle femme. Je suis sûr que ton mari s’occupe bien de toi ». « Lui ?! » me coupa-t-elle avec un zest de dégoût dans la voix, « ça fait cinq ans qu’il ne m’a plus touché ». J’étais totalement déboussolé et la conversation prenait une direction totalement inattendue. Mais en même temps une partie de moi me poussait à aller plus loin, je savais qu’une telle occasion ne se représenterait sans doute plus jamais. Je la regardais de la tête aux pieds et lui dis, « je ne comprends pas, tu es une femme superbe, ...
    ... c’est un crime de ne plus te toucher, il devrait être condamné pour ça ». Elle rit de bon cœur. « Tu es trop gentil mais arrête, je suis sûr que je ne te plais pas ». Trop tard pour revenir en arrière. « Au contraire, je te trouve magnifique, et depuis des années je fantasme sur toi ». Oula, j’avais franchi la ligne rouge. Dans ma tête un petit bonhomme agitait son drapeau à toute vitesse mais c’était trop tard. Son sourire n’était plus là, elle semblait réfléchir à ce que je venais de lui dire et je me demandais si elle allait appeler ma mère après mon départ. La honte…. « C’est très gentil mais nous deux c’est….pas bien, tu es comme mon fils ». A ces mots je sentis que ce n’était pas qu’une illusion. Je fis un pas vers elle pour quasiment me coller, je sentais sa poitrine lourde s’aplatir contre mon torse, « oui mais tu n’es pas ma mère, rien ne nous empêche de ». « Non il ne faut pas, c’est pas bien » dit elle dans un murmure. Sans lui laisser le temps de réfléchir je posais ma main sur ses hanches pour la coller à moi et je commençais à l’embrasser. Ses lèvres au début réticentes, s’ouvrirent grandement et sa langue me fut donnée avec plaisir. Je sentis que cette pratique ne devait pas être une habitude pour elle car elle faisait aller sa langue à toute vitesse dans ma bouche comme pourrait le faire une collégienne qui roule une pelle pour la première fois. Mais pour être honnête peu m’importait, j’étais en plein fantasme et plus rien n’existait. Mes mains commencèrent à ...
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