Chemins libertins (5)
Datte: 06/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
... Eliane ?
— Elle me fait envie.
— Ca veut dire quoi ça ?
— Eh bien, ça ne me dérangerait pas de faire des choses avec elle.
— A ce point-là?
— Hum Hum.
— Tu ne m’avais jamais dit que les femmes t’intéressaient.
Cette idée me fit bander instantanément. Je posai ma main sur le cul d’Annick et le lui caressai brutalement. Elle gémit.
— Arrête, elle pourrait nous voir.
— Et alors ? Est-ce que ça te dérangerait qu’elle nous voit ?
— Non bien sûr, mais qu’est-ce qu’elle va penser ?
— Oh, pour ça, tu n’as pas à t’en faire, c’est un couple très libre.
Nous étions arrivés dans un coin du jardin où un sapin imposant nous cachait la maison de ses branches. Je pris Annick contre moi et l’embrassai fougueusement. Elle répondit à mon baiser en mettant ma main sur son sein.
— Ouvre ma blouse et suce mon téton.
Je défis un à un les boutons et, dénudant son sein gauche, je posai mes lèvres frémissantes sur son bourgeon déjà tendu. A ce contact, elle gémit faiblement et pressa ma tête contre sa poitrine. Mes mains descendirent le long de sa croupe, et prenant le bas de sa jupe, je la remontai lentement. A ce geste, Annick se pressa encore plus contre moi. Je découvris avec ravissement la nudité de ses fesses, et, les lui écartant, je promenai mon doigt le long de son sillon, agaçant au passage son anus. Je ne voulais pas le forcer maintenant, mais les mouvements que faisait le cul d’Annick m’encouragèrent à y plonger mon doigt jusqu’à la deuxième ...
... phalange. En sentant cet intrus, elle releva la tête en feulant et je lui mordis doucement le cou.
— Oh c’est bon ton doigt dans mon cul.
— Cochonne, tu veux vraiment m’exciter, tu n’as pas mis de slip...
Tout à coup, une voix familière me parvint.
— Eh les amoureux, où êtes-vous ?
Annick un peu paniquée baissa sa jupe à toute vitesse et referma son chemisier.
— Nous sommes là vieux frère, dis-je à Patrick qui nous attendait sur la terrasse. On s’est permis d’aller rendre visite à ton sapin.
— Mouais, dis plutôt que tu voulais peloter ton amie, très jolie au demeurant, dit-il en nous voyant.
— Là, tu es en train de fantasmer.
— Bienvenue chez nous mademoiselle.
Patrick déposa un chaste baiser sur la main d’Annick.
— Tu es absolument ravissante.
A ces mots, le visage d’Annick s’empourpra un peu.
— Oh oh, je vois qu’elle n’est pas insensible aux compliments.
— Et à d’autres choses non plus, repris-je tout de go.
— On verra ça, on verra ça.
Annick me lança un regard où pointait un peu d’agacement. Patrick s’en rendit compte et pour la tranquilliser, ajouta:
— Mais, sache-le, on n’a jamais forcé personne.
On prit l’apéritif au bord de l’eau à la lumière des torches de jardin. Annick et Eliane avaient très vite sympathisé. Il semblait que le courant passait bien. Avec Patrick, nous avions disparu dans son bureau pour tapoter sur le clavier de l’ordinateur, laissant nos deux femmes discuter entre elles.
— Tu verras, je vous ai ...