Chemins libertins (5)
Datte: 06/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
... d’homme. J’étais sûr qu’elle ne lui refuserait rien. Elle gémissait tout en suçant alternativement les seins d’Eliane. Cette vue m’excita encore plus et c’est en tenant la tête de la brune et en m’enfonçant au plus profond de sa gorge que je jouis à en perdre haleine. Elle avala mon sperme avec de petits soupirs de contentement et sortant ma pine de sa bouche, me regarda en se pourléchant les lèvres.
Eliane vint vers moi et me dit:
— Arnaud, je te présente Déborah, elle est à notre disposition toute la soirée. C’est une amie qui désirait vivre une expérience de groupe. On s’est dit que ça te plairait.
Effectivement, ça me plaisait. Déborah sortit de dessous la table en me jetant un regard langoureux. Elle était très bien faite. Elle devait avoir environ vingt-cinq ans. Sa chatte était entièrement rasée et on voyait bien ses petites lèvres qui dépassaient de sa vulve.
Je sentais que la soirée n’allait pas être triste.
— Je vous propose de passer au salon, on y sera mieux, nous dit Patrick.
Je pris la peine de remonter ma braguette et me rendis vers le salon où des coussins à même le sol nous invitaient aux plaisirs de l’amour. Une musique douce et des lumières tamisées ajoutaient à l’atmosphère voluptueuse de l’endroit.
Annick vint se blottir tout contre moi. Je vis avec plaisir la pointe de ses seins qui tendaient la blouse de soie.
Nos hôtes et Déborah avaient disparu on ne savait où et nous nous retrouvions seuls.
— Je suis certainement folle de ...
... me laisser faire ainsi, me dit Annick.
— Pourquoi ? Tu y as pourtant trouvé du plaisir, non ?
— Oh oui, me répondit-elle en rosissant légèrement.
— Alors, y a-t-il du mal à se faire du bien ? Laisse-toi aller, on verra déjà bien jusqu’où ça ira.
— C’est de cela dont j’ai peur, jusqu’où irons-nous ?
Patrick nous rejoignit le premier.
— Elles arrivent tout de suite.
Il nous servit à chacun un verre de cocktail.
— Aphrodisiaque, dit-il à Annick en lui lançant un petit clin d’œil.
Je ne sais pas si cette boisson était vraiment aphrodisiaque, mais elle était délicieuse.
Eliane et Déborah arrivèrent enfin. Toutes deux étaient habillées de la même manière: une guêpière noire en cuir, lassée sur le devant qui laissait la poitrine nue, un string et des bas de la même couleur que la guêpière et des souliers à très hauts talons. En plus, Déborah arborait autour de son cou un collier serré en cuir. Eliane avait dans les mains deux godemichés. L’un de fort diamètre était recouvert de fins picots en plastique alors que l’autre imitait parfaitement une queue masculine.
— Vous ne trouvez pas que vous êtes un petit peu trop habillés, nous demanda Eliane.
Effectivement, Annick et moi avions gardé nos vêtements alors que Patrick était déjà nu comme un ver.
— Déborah, va déshabiller Annick.
Elle ne se fit pas prier et défit lentement, un à un, les boutons de la blouse d’Annick avant de la lui enlever. Puis, après avoir dégrafé sa jupe, elle la fit glisser ...