1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (10)


    Datte: 05/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... liberté. Un moment avec vous, pas de problème (elle regarde mon sexe).
    
    Comme elle voit bien que je regarde l’autre fille, plus jeune, restée un peu en retrait avec son ami, j’ajoute :
    
    — Et… elle, toute nue aussi ? J’aime les rondes (je mime avec mes mains).
    
    À ce moment, on entend des cris et des gémissements venir du bosquet. Jana est en train de se faire ramoner et de connaître une nouvelle vague de jouissance. L’épouse sourit. Que son mari soit en train de baiser une inconnue, en pleine nature, la satisfait. Aussi, s’adresse- t-elle à la fille, qui s’exécute. Un corps, légèrement replet, des cuisses un peu fortes, mais sans plus et des seins généreux. Elle est brune avec des cheveux noirs qui tombent sur ses épaules. L’épouse essaie de faire les présentations :
    
    — C’est… comme… ma nièce, vous comprendre ?
    
    — Oui… des gros seins aussi… j’aime… envie d’elle et de vous aussi.
    
    — Hum ! Français affamé ? Deux femmes pour vous. Excitant !
    
    Le jeune homme s’approche aussi et je lui laisse Éva pour lui prouver que je suis libéré et qu’il peut la baiser s’il a envie d’elle. Ainsi, elle n’aura pas besoin de s’exciter toute seule! Il commence par lui téter les seins. Quant à moi, une fois la jeune fille devant moi, je lui masse et lui soupèse ses seins lourds, mais fermes :
    
    — Hmm ! Jolis nichons… belles mamelles… Allemande coquine… cochonne…
    
    Elle ne comprend pas grand-chose à mes paroles, mais mes mains traduisent bien. Je lui masse ses hanches rondes, puis ...
    ... la fait se retourner : deux melons fermes séparés par une raie profonde, s’offrent à moi :
    
    — Hmm ! Joli derrière… beau cul… Miam ! Joli petit trou, hein ?
    
    La simple vue de son cul me fait perdre toute retenue. Je veux qu’elle se penche en avant en lui appuyant sur la nuque. Elle s’exécute docilement et sans que je lui demande, elle écarte elle-même ses fesses avec ses mains.
    
    — Ton petit trou, il est où ? Aide-moi, toi !
    
    J’ai saisi la main de la tante et la pose sur la raie des fesses de la nièce :
    
    — Le petit trou ! Vite, je suis pressé.
    
    Elle me regarde, un peu étonnée de mon audace, peut-être, mais son index se faufile entre les fesses avant de s’enfoncer, tandis que la nièce gémit.
    
    — Elle aime ça, la salope… Le doigt de sa tante dans le cul. Ces rondelettes, ça aime la baise sans tabou.
    
    Puis, de mes deux mains, j’enserre les hanches de la fille. Et ma queue, toute raide, s’enfonce dans la raie, puis dans son petit trou humide. Elle couine comme une truie, quand ma bite s’empale toute entière dans son intestin. Et je la ramone avec entrain. À côté de moi, Éva gémit de plaisir : le garçon lui fouille la chatte avec trois doigts… et la tante ne trouve rien de mieux que de se placer devant le visage de sa nièce afin d’y frotter sa moule dessus. Un lupanar en pleine nature…
    
    Quant à l’autre, il doit, littéralement, défoncer Jana, tant ses cris et ses gloussements nous parviennent nettement de derrière les broussailles. En prime, cette voix masculine qui ...
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