Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (10)
Datte: 05/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... toujours en micro-jupe. Elle ne semble pas étonnée de nous voir nus tous les trois. Quand nous entrons, l’horloge murale du restaurant indique presque 16 h. Ce qui fait réagir Éva :
— Mon Dieu, déjà ! Il faudra que cette balade ne finisse pas plus tard que 17 h.
Le garçon, toujours fringant, vient à notre rencontre, tout émoustillé devant la nudité des deux sœurs, n’ayant d’yeux que pour elles :
— Vous êtes venus chercher vos affaires, je suppose. Enfin, celles de mademoiselle Jana.
Et, tout en jetant un regard gourmand sur les seins de Jana, il poursuit :
— Nous nous sommes bien amusés, n’est-ce-pas ? J’espère vous revoir encore. Vous ne vous rhabillez pas ?
Il y a un petit moment de flottement parmi nous. Je chuchote à l’oreille d’Éva :
— Il serait plus sage de partir d’ici habillés. Sinon, ils vont imaginer des choses… et peut-être nous suivre !
Elle relaie mon message à Jana et nous finissons par nous rhabiller tous les trois. C’est-à-dire que les deux sœurs remettent leur maillot deux pièces et moi mon bermuda et mon débardeur. Et comme nous insistons pour régler les repas, le serveur y consent :
— Je vous compte deux repas. Celui de mademoiselle Jana est… offert.
Il nous adresse un sourire plein de sous-entendus. Nous lui rendons ce sourire, avant de nous diriger vers la sortie. Jana nous semble de plus en plus excitée; s’est-elle rendu compte que le serveur a glissé un objet dans son slip, entre ses fesses ?
— Alors, une fois arrivés ...
... à la voiture… À poil, d’accord ? Et pour éviter toute tentation, tous les vêtements dans le coffre.
Impossible, cependant, de nous défaire de l’habitude de regarder autour de nous. Le parking est maintenant désert. Le déshabillage est rapide et les vêtements prestement balancés dans le coffre. Nous nous engouffrons dans la voiture avec ce sentiment de franchir une limite de plus dans l’exhibition. Jana se trouve à côté de moi. Je ne vois que ses seins, ses cuisses, ce corps ensorcelant. Elle s’en rend vite compte, s’étale sur le fauteuil, écarte les jambes, avant de lancer :
— Hmm ! C’est bon d’être nue comme ça. Ah ! Vivre à poil, durant ces vacances. Et faire des économies de vêtements, en plus ! Tu serais d’accord, Éva ?
Je ne parviens pas à démarrer, tout occupé que je suis à détailler son corps et cette chatte sublime avec ses lèvres bien ourlées que Jana exhibe sans aucune pudeur. J’entends la voix d’Éva :
— Passer nos vacances à poil ? Ça serait un peu compliqué, là : ça veut dire se baigner, manger et se divertir, toutes nues. Et même sortir… tu imagines la tête des gens voyant deux filles à poil se balader dans la rue, entrant dans les magasins…
— Oui, je sais. Mais n’empêche que ça me tente. Au moins de se retrouver nue chaque fois que c’est possible. Et puis nous avons la carte du club naturiste…
Jana soupire. Toujours étalée sur le fauteuil, les cuisses ouvertes, je la vois poser sa main droite sur son sexe. Et ses doigts qui s’activent sur son ...