1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (10)


    Datte: 05/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... pas vite ; il veut nous faire remarquer. On commence à nous doubler.
    
    Une camionnette nous dépasse. Son passager doit voir des choses très agréables, car il nous adresse un signe. Venant de face, un chauffeur de camion a le temps d’admirer le corps nu de Jana ainsi que sa belle poitrine. En plus, il n’a pas hésité à ralentir. La circulation semble plus dense depuis un moment. Je suggère :
    
    — Je ne sais pas si c’est bien sage de continuer sur cette route. Nous allons finir par provoquer un accident ! Ce n’est pas le but recherché, n’est-ce-pas ?
    
    Éva acquiesce :
    
    — En effet… Je crois qu’à quelques kilomètres d’ici, il y a un carrefour : là, une route va sur la gauche. Nous sommes déjà passés par là avec mon père. La route est étroite, mais elle mène aussi à Dugi-Rat.
    
    Cinq kilomètres plus loin, effectivement, une autre route se présente à notre gauche. Éva me prévient que c’est là. Avec précaution, nous nous y engageons. À mesure que nous nous éloignons de la route principale, nous abordons une zone presque désertique. Le sol nu la plupart du temps, sinon quelques champs ici et là. La circulation est quasi nulle. Juste après le franchissement d’un petit pont, s’offre à nous une sorte de parking orné de quelques arbustes et buissons. Une idée semble avoir jaillit du cerveau de Jana :
    
    — On pourrait s’arrêter ici un moment. Avec ces arbres, ce devrait être agréable !
    
    Comme Éva n’émet pas d’avis, j’en conclue que l’arrêt est programmé et je gare la voiture à ...
    ... proximité d’un petit arbre, de quoi avoir un peu d’ombre. Je m’amuse de la situation :
    
    — On pourrait se dégourdir les jambes, n’est-ce-pas ?
    
    Jana me regarde, puis ayant ouvert la portière, elle pivote sur son siège et se retrouve les jambes pendantes à l’extérieur.
    
    — Moi, en tout cas, j’en ai bien l’intention !
    
    Et elle se retrouve dehors, foulant la terre du parking, dans sa splendide nudité. Éva, sans doute gagnée par l’excitation, s’empresse de sortir, elle aussi.
    
    — Hum… c’est super bon de sentir le soleil sur sa peau !
    
    Elle s’étire, faisant dresser ses seins et voilà que Jana l’imite, écartant en plus ses jambes. Quant à moi, je me contente de rester assis au volant, portière ouverte. Éva vient me voir. Elle s’amuse de mon sexe dressé : je bande comme un âne.
    
    — Allons viens ! J’ai envie de…
    
    Sa phrase reste en suspens. C’est qu’un grondement se fait entendre de l’autre côté du pont. Nos regards se tournent vers celui-ci : nous voyons approcher des motards : de loin, on en compte quatre, chevauchant deux machines. Ils franchissent le pont et semblent poursuivre leur route, quand la première moto amorce un virage serré et s’engage sur le parking, suivie de l’autre. Puis stoppent tout près d’un bosquet, à une dizaine de mètres de nous. Éva se redresse :
    
    — Eh bien, cette route n’est pas si déserte que ça. On dirait que ce sont des Allemands de l’Ouest, à voir leurs engins.
    
    Ces derniers, une fois descendus de leurs machines, regardent dans notre ...
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