1. S'il n'entend le cœur qui bat


    Datte: 03/03/2022, Catégories: fh, couple, extracon, hotel, vengeance, jalousie, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: Volnay, Source: Revebebe

    ... j’avais présenté mon dard à cette porte, elle s’était dérobée et je n’avais pas insisté. Souhaitait-elle me permettre ce qu’elle m’avait jusque-là refusé et me permettre de l’enculer ? Cette pensée, portée par ce verbe que je me répétais mentalement plusieurs fois avec délectation, suffit à me faire bander. Mais je chassai de mon esprit ces idées libidineuses et j’étais redevenu présentable quand j’entrai dans la pharmacie où je fis mes achats.
    
    Le soir, après nous être retrouvés comme nous en avions pris l’habitude, je sortis mes acquisitions de ma poche. Sans faire de commentaires, Hayat les prit, les posa sur la table de nuit et me demanda ce que j’attendais pour venir lui bouffer la chatte. En trois soirées, notre vocabulaire, au départ assez retenu, s’était considérablement relâché. Je m’exclamai que les désirs de ma belle salope étaient des ordres et que j’allais lui dévorer la cramouille. Pour seule réponse elle se renversa sur le lit et écartelant ses cuisses en s’aidant de ses mains, elle offrit à ma gourmandise une moule déjà suintante de désir. En songeant à ce qui, peut-être, allait suivre, je me mis à l’œuvre avec un entrain passionné. Elle commença par s’abandonner, mais, alors que la sentant de plus en plus excitée, je m’apprêtai à accentuer mes caresses, elle m’interrompit brusquement. Je lui demandais avec inquiétude si je ne lui avais pas fait mal. Au contraire répondit-elle, je lui faisais beaucoup de bien et elle avait envie que je lui en fasse encore ...
    ... plus.« Ça y est, pensai-je, je vais pouvoir lui en mettre plein le cul » (je ne suis pas fier de cette vulgarité, mais les circonstances m’y autorisaient : nous n’étions pas en train de prendre le thé chez une marquise douairière). Je crus voir mes espoirs près de se réaliser quand elle me tendit le tube de lubrifiant. Mettant un peu de gel sur le bout de mon index j’entrepris de lui masser la rondelle.
    
    — Non, me dit-elle, pas là !
    
    Et elle me montra la chatte que je venais d’abandonner. Je compris sur-le-champ, car au temps de notre entente, Lucie et moi nous nous étions parfois livrés à cette pratique.
    
    — Tu veux que je te fiste ?
    
    Elle hocha la tête en guise de réponse et, en même temps, elle reprit la posture, abandonnée quelques instants plus tôt.
    
    Je déversai du gel sur sa chatte ouverte puis je m’en enduisis les mains, en me félicitant mentalement d’avoir, le matin même, songé à me tailler les ongles. Progressivement je me mis à l’ouvrage. Pour commencer, j’introduisis dans son antre, trois doigts de ma main droite pendant que de l’index gauche je caressai son bouton. Très vite un quatrième doigt rejoignit ses frères. Seul, le pouce restait à l’extérieur. Je l’y laissais tout en pistonnant avec ardeur une chatte que je sentais de plus en plus réceptive. Après m’avoir stimulé avec des « C’est bon ! » des « Encore » plus râlés qu’articulés, Hayat abandonna le langage articulé pour des gémissements et des grognements qui étaient autant d’encouragements à aller ...
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